Ratifiée par la majorité des partis présents, cette résolution n’a pas force de loi mais permet de pousser le dossier sur la table de la commission européenne. Celle-ci pourrait se prononcer en faveur d’une telle mesure à travers l’Union.
Selon Olivier Krischer, leader du parti écologiste, le bannissement des voitures essence et diesel, (mais aussi hybrides et au gaz) serait la seule solution pour se conformer aux accords signés lors de la COP21 de Paris.
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Cette mesure ne prévoit pas seulement l’interdiction de vente de telles motorisations, mais tout simplement leur usage. Si cela venait à se concrétiser, les économistes prévoient un véritable bain de sang social dans un pays où l’industrie automobile figure parmi les plus fortes du monde.
