À condition de ne pas être dérangé par la conduite à droite, les voitures d’occasion vendues sur le marché anglais sont souvent beaucoup moins chères que chez nous. Ce bon plan risque cependant de ne pas durer.
Occasion
Pour faire un bon achat, il faut avant tout bien évaluer ses besoins. Un exercice logique, un équilibre à trouver entre raison et envie. Mais qu’il soit étudiant désargenté, jeune mère de famille, retraité, artisan indépendant, seul ou en couple, chaque profil trouvera son bonheur parmi nos petites annonces.
L’opération peut paraitre complexe. En réalité, il n’en est rien, pour autant que l’on agisse avec méthode et que l’on dispose des documents adéquats.
Deux cas de figure se présentent. Le premier est assez simple, il s’agit de l’achat du véhicule à un particulier : dans ce cas, aucune garantie. Le contrat de vente mentionnant généralement : «dans l’état bien connu de l’acheteur», il ne reste à l’acheteur malchanceux que ses yeux pour pleurer.
A partir de quel acte mon intention d’achat devient-elle un engagement officiel ? Accord verbal, échange de mail, versement d’un acompte, signature ?
D’une manière générale, acheter son véhicule en Belgique est plus commode. En faisant son acquisition sur le territoire, on évite de longs déplacements et de potentiels ennuis administratifs.
Le choix du mode de paiement est évidement fonction de la somme en jeu. La vieille auto de l’étudiant qui change de mains pour une poignée d’euros se prêtera plutôt à une transaction en direct. Par voie bancaire ou en liquide, elle évitera des frais supplémentaires car comme vous l’entendez souvent, «Emprunter de l’argent coute aussi de l’argent».
Conseil primordial : éviter la précipitation. La multiplication des visites vous permettra de comparer et de mieux évaluer chacun des véhicules.