Le cdH, passé dans l’opposition depuis son adhésion au principe d’une sortie programmée des moteurs diesel et essence estime qu’il restait une série d’interrogations sur les modalités d’encadrement et de mises en œuvre du principe de la sortie des moteurs diesel et essence de la capitale auquel il continue d’adhérer. Pour lui, ces interrogations “plongent les Bruxellois et les navetteurs dans un flou total”.
Diesel
À l’heure d’opter pour une nouvelle voiture, le choix de la motorisation paraît parfois compliqué. Et face à l’essence, aux hybrides ou aux électriques, le diesel est parfois oublié. Malgré ses inconvénients, il offre tout de même encore quelques avantages.
L’interdiction des voitures diesel et essence à Bruxelles (en 2030 et 2035 respectivement) est “idéologique et en opposition avec la réalité technologique”, estime la Fédération pétrolière belge. “La décision du gouvernement régional manque de nuance et est même inutile”.
A priori, une BMW Série 2 diesel ne paraît pas vraiment très sportive mais cet exemplaire très particulier constitue une véritable exception.
Le gouvernement bruxellois a élaboré un calendrier et une feuille de route pour baliser le parcours qui mènera à la suppression des véhicules à moteurs thermiques d’ici 2035. Le calendrier actuel de bannissement de catégories de moteurs ne court que jusqu’en 2025. Pour la suite, le rythme de sortie ne sera pas le même pour tous les types de véhicules.
Une centaine de décès pourraient potentiellement être évités chaque année grâce à l’interdiction des moteurs thermiques dans notre capitale, a annoncé vendredi Bruxelles Environnement, l’administration en charge de l’environnement et de l’énergie en Région de Bruxelles-Capitale. La mise en œuvre du plan régional de mobilité Good Move devrait aussi avoir un impact positif.
Le gouvernement bruxellois annonce officiellement qu’il va interdire le diesel, l’essence et le GPL, et ce assez rapidement. L’accord a été conclu ce matin.