Citroën C6
Avec son esthétique très baroque, la Citroën C6 était vraiment unique en son genre ! Sur papier, elle avait beaucoup d’atouts : confort, luxe à la française et espace intérieur généreux. Malheureusement, sa gestation compliquée faite à l’économie se ressentait fortement dans sa finition et le choix de certains matériaux. Ajoutez à cela une fiabilité aléatoire et vous obtenez un flop qui a tout de même duré 7 ans durant lesquels seuls 23.384 exemplaires ont été produits.
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Renault Vel Satis
Historiquement, le haut-de-gamme français n’a jamais vraiment été un succès. Et la Renault Vel Satis est venue s’ajouter à la liste des modèles qui ont échoué à cet exercice. Fruit de l’équipe de designers du très controversé Patrick Le Quément (à l’origine de la Mégane II et de l’Avantime), la Vel Satis a échoué en raison de sa ligne trop particulière et d’une image « populuxe » qui lui collait à la peau.
Audi V8
Au début des années 80, Audi commence à connaître le succès, mais la marque est absente du segment des berlines de luxe. Ferdinand Piëch (encore lui !) qui préside à la destinée des 4 anneaux, décide de commercialiser une berline pour rivaliser avec la Mercedes Classe S et la BMW Série 7. Construite sur base des Audi 100 et 200, la V8 est finalement lancée en 1988. Trop discrète et trop peu performante, elle n’arrivera pas à s’imposer face à ses rivales, et ce malgré un facelift en cours de carrière et un réalésage de son moteur. Par contre, sa descendante, l’A8, connut un autre destin. Mais c’est une autre histoire…
Opel Signum
Développée sur base de la Vectra C, l’Opel Signum était une berline bicorps au look assez particulier de compacte familiale. Détail intéressant, ses places arrière disposaient d’une console arrière multifonctions à la façon des limousines. En manque total d’image, cette voiture n’a pas dépassé les 100.000 exemplaires et s’est effacée en 2005 au profit de la jolie Insignia.
Volkswagen Phaeton
Voulue par Ferdinand Piëch (encore lui !), grand patron de la marque qui caressait le rêve de faire entrer Volkswagen dans la cour des constructeurs de voitures de luxe, la Phaeton ne manquait pourtant pas d’atouts. Son exceptionnel moteur W12 a même servi au renouveau de Bentley. Produite pendant 14 ans, elle n’a jamais vraiment connu le succès, la faute à son manque d’image et à une ligne un peu trop terne.
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