ESSAI Seat Leon: amélioration continue

De nouveaux boucliers et des phares full-LED dont le clignotant est calqué sur les feux de jour. Voilà pour les changements esthétiques. Le reste se trouve à l’intérieur, où l’on remarque d’emblée la présence d’une console centrale redessinée dans sa partie inférieure pour se doter du bouton de démarrage mains-libres, de la commande de frein à main électronique et d’un chargeur à induction pour smartphones. L’écran central passe à 8 pouces, au détriment du capteur de proximité qui disparait. Il faut donc désormais toucher l’écran pour faire apparaitre le menu. En matière d’aide à la conduite, signalons l’apparition de la détection piétons, de la surveillance transversale arrière et de la gestion des embouteillages (uniquement avec boîte DSG).

Nouveau TDI

Sur route, la Leon conserve son comportement précis et rassurant, toujours ponctué d’une pointe de caractère en plus qu’une Golf, ce qui n’est pas pour nous déplaire. La principale nouveauté sous le capot est l’arrivée du 1.6 TDI 115ch, couplé à la boîte DSG7 ou manuelle… à 5 rapports. Les boîtes 6 sont en effet réservées aux «gros» TDI… pour des raisons d’efficience selon Seat ! De même, les petites motorisations essence se répartissent désormais les transmissions : le 1.2 TSI 110 est uniquement livrable en manuelle (6 vitesses) tandis que le 1.0 TSI 115 ne peut être accordé qu’à la DSG7. Pour le reste, la gamme conserve ses motorisations (dont celles au CNG), sa transmission intégrale et ses 3 variantes de carrosserie.

Conclusion

Bien que certains choix techniques nous étonnent, la Leon peut envisager sereinement la suite de sa carrière.