Mini
Si vous souhaitez un cabriolet compact, stylé et capable d’emmener quatre personnes, ne cherchez plus : la Mini est ce qu’il vous faut ! Pour le budget imparti, vous pourrez trouver une voiture ayant une dizaine d’années qui n’est pas trop kilométrée. Pour le reste, c’est une affaire de goûts et de couleurs, les options et possibilités de personnalisation étaient très nombreuses et il vous faudra chercher pour trouver l’exemplaire qui vous ressemble !
Motorisation conseillée : mieux vaut éviter les blocs diesel qui sont déjà bannis (ou en train de l’être) de certaines LEZ et opter pour une One ou une Cooper Essence. Développés en collaboration avec PSA, ces blocs atmosphériques ne souffrent pas de gros problèmes particuliers. Plus puissant, le 1.6 de 122 ch et 160 Nm de la Cooper est à préférer pour ne pas peiner lors des balades dans des régions vallonnées.
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BMW Z3
Iconique et indémodable, la BMW Z3 est, comme la Mazda MX-5, l’archétype des roadsters légers, simples et amusants. Même si sa conception est datée (des éléments mécaniques proviennent de la Série E30 et E36), elle est toujours parfaite pour se promener et s’amuser sans rouler trop vite, ni se dépenser. Pour l’instant encore abordable, la Z3 va certainement voir sa cote monter en flèche quand les premiers exemplaires, construits en 1995, auront 30 ans l’année prochaine et pourront profiter de la fiscalité avantageuse liée au statut d’oldtimer.
Motorisation conseillée : Un budget de 10.000 € n’est pas suffisant pour profiter de la mélodie et de la souplesse d’un moteur 6 cylindres. Les blocs 1.8 et 1.9 se montrent fiables et économiques à l’usage, sans être très puissants. Cependant, ils sont suffisants pour une utilisation « cool ».
Mercedes SLK
Répondant en nom de code R171, la seconde génération de la Mercedes SLK est une réussite esthétique. Alors que les premiers exemplaires ont déjà 20 ans, cette voiture ne fait vraiment pas son âge ! Acheter une SLK, c’est s’offrir un cabriolet et un coupé car elle dispose d’un toit rétractable très pratique qui garantit à ses passagers un confort appréciable quand le temps s’est gâté. En tant que Mercedes, elle jouit d’une belle finition pour un véhicule qui peut se trouver dans une fourchette comprise entre 8 et 10.000 €.
Motorisation conseillée : pour ne pas se faire massacrer par l’écomalus, mieux vaut opter pour la SLK 200, une version qui dispose d’un 4 cylindres 1.8 équipé d’un compresseur, développant 163 ch. Il est associé avec une boîte manuelle à 6 rapports ou avec une transmission automatique à 5 vitesses.
Fiat 500C
Rouler en Fiat 500C, c’est vivre la dolce vita en Technicolor dans une voiture qui, bien que populaire, a un capital sympathie incroyable. S’il s’agit plus d’un modèle découvrable que d’un cabriolet puisque la petite fiat conserve ses montants latéraux d’origine, son toit en toile aux dimensions généreuses permet de profiter pleinement de la vie au grand air. Craquante à l’extérieur, la 500C l’est également à l’intérieur avec sa planche couleur carrosserie et sa sellerie élégante. Pour 10.000 €, vous pourrez également mettre la main sur une des très nombreuses séries spéciales qui ont toutes une identité différente.
Motorisation conseillée : oubliez le 1.3 Multijet diesel peu agréable et le Twinair 2 cylindres essence aussi fragile que gourmand, le 1.2 essence de 69 ch est parfait. Il ne vous collera pas au dossier du siège mais il fait preuve d’une bonne volonté évidente, tout en étant sobre et très facile à vivre en ce qui concerne son entretien.
Volkswagen Golf VI
Présentée en 2011, la Volkswagen Golf VI cabriolet est revenue après une absence longue de presque 10 ans. Avec son toit en toile et sa ligne fort classique (mais dépourvue pour la première fois d’un arceau central), elle n’a pas vraiment marqué les esprits malgré des qualités évidentes. Aujourd’hui, elle est une bonne affaire que l’on peut trouver à moins de 10.000 euros avec des mécaniques intéressantes et une belle habitabilité pour 4 personnes qui pourront de plus prendre avec elles quelques bagages car le coffre est assez spacieux. La finition est également de bonne facture, à l’instar de sa sœur la berline.
Motorisation conseillée : le bloc essence 1.2 TSI de 105 ch offre un bon rapport agrément/coûts de fonctionnement grâce à sa faible cylindrée et ses émissions contenues de 139 g/km de CO2.
BMW Série 1
Bien plus rare que la berline ou le coupé, la BMW Série 1 Cabriolet E88 mérite pourtant le détour car elle conserve les mêmes qualités que ses sœurs, à savoir un agrément de conduite remarquable, un design intérieur particulièrement réussi et des matériaux de qualité. Polyvalent grâce à ses quatre places et un coffre de belle capacité, le cabriolet Série 1 est basé sur le coupé. Il reçoit une « bonne vieille » capote en toile qui a l’avantage de prendre beaucoup de place qu’un toit rétractable.
Motorisation conseillée : La version 120i, bénéficiant d’un moteur 4 cylindres 2.0 litres de 150 ou de 170 ch est le meilleur choix que l’on puisse faire au sein de large gamme de motorisations BMW. Oubliez la boîte automatique et profitez de la commande précise et ferme de la transmission manuelle, bien plus agréable à l’usage !
Mazda MX-5
La troisième génération de la Mazda MX-5, la NC, est injustement boudée par les puristes de cette lignée. Jugée trop lourde et trop embourgeoisée, elle est néanmoins très agréable à conduire et son confort d’utilisation (tout reste relatif tout de même) est agréable au quotidien. Assis au ras du sol, exposé aux éléments, on apprécie chaque petite route ou chaque courbe grâce à une direction très directe. Comme la voiture et légère, les accélérations sont amplement suffisantes et les sensations toujours au rendez-vous !
Motorisation conseillée : La MX-5 NC a été vendue avec deux moteurs : un 1.8 de 126 et un 2.0 de 160 ch. Entre les deux, la différence de performances n’est pas spectaculaire : c’est plutôt le couple qui fait la différence. Le premier est cependant plus intéressant fiscalement et agréable, ce qui lui donne notre préférence.
Audi TT
Lorsqu’elle a été lancée sur le marché européen en 1998, l’Audi TT a été un séisme dans le monde automobile. Son look tout à fait singulier a divisé l’opinion mais a fait d’elle une star, la voiture « tendance » des jeunes cadres dynamiques à la fin des années 90. En 1999, le cabriolet TT (officiellement appelé Roadster) a été commercialisé pour le plus grand bonheur des amateurs de conduite les cheveux au vent ! Toute en rondeur, la TT est une voiture surprenante et pas que par sa ligne singulière. Il s’agit d’une traction (pas dans sa version Quattro évidemment) avec un moteur placé transversalement qu’il se montre particulièrement agile en ville et amusante sur la route. Son habitacle toujours aussi agréable à regarder 25 ans après ses débuts est une invitation au voyage.
Motorisation conseillée : Le moteur 1.8 turbo 20 soupapes de la TT développait 180 ou 225 ch. Mieux vaut opter pour sa version la plus puissante, équipée de la transmission intégrale Quattro. Pour 8.000 €, vous avez une voiture amusante et qui a une gueule incroyable. Que demande le peuple !
Opel Cascada
Dans nos 10 cabriolets à prix mini, l’Opel Cascada est certainement l’un des plus accueillants. Ce gros cabriolet de 4,70 m de long équipé d’une capote en toile ne manquait pas d’élégance. Malheureusement, son prix de vente élevé et son image peu reluisante n’en ont pas fait un succès commercial. Sur le marché de l’occasion, l’allemande est une bonne affaire puisqu’on trouve de beaux exemplaires à partir de 7.500 €, une somme modique pour une voiture aussi confortable et bien équipée.
Motorisation conseillée : Pour mouvoir ce cabriolet qui pèse de 1.700 à 1.800 kg suivant la version, mieux vaut opter pour le moteur 1.6 turbo de 170 ch et 260 Nm. Les amateurs de boîtes automatiques apprécieront la transmission 6 rapports qui était également disponible.
Volvo C70
Dernier cabriolet en date de Volvo, la Volvo C70 seconde génération a été un beau succès commercial. Particulièrement confortable pour quatre personnes, ce cabriolet bénéficiait d’un toit rétractable en 3 parties développé par Pininfarina. Simple et élégante, la ligne de la C70 allait droit au but et c’est sans doute ce qui a plu à une large clientèle, tout comme son confort feutré. Comme toute Volvo, la C70 se voulait sûre en toute circonstance avec des arceaux mobiles en cas de retournement ou des airbags de tête.
Motorisation conseillée : avant l’ère Geely et les normes antipollution draconiennes, Volvo utilisait encore des moteurs essence 5 cylindres à la sonorité délicieuse et incroyablement souples. Entrée de gamme essence, la C70 avait un 2,4 litres sous le capot dont la puissance n’était pas folle : 140 ou 170 ch. A l’usage, ce bloc si particulier était pourtant vraiment agréable.
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