Suite à l’interdiction des voitures diesel et à essence dans un avenir proche à Bruxelles et à l’annonce du gouvernement fédéral de ne plus vouloir de voitures de société à moteur à combustion (mais aussi à la déclaration très récente du gouvernement flamand qui stipule qu’à partir de 2029, seuls les nouveaux modèles 100 % électriques seront autorisés dans les rues), les consommateurs ne savent plus que choisir et préfèrent reporter, voire annuler, l’achat d’une nouvelle voiture. Cela entraîne, d’une part, un effondrement du marché des voitures neuves et, d’autre part, une hausse des prix des voitures d’occasion.
Ceux qui commandent une nouvelle voiture risquent d’attendre (très) longtemps sa livraison. Cela est dû à la pénurie mondiale de puces électroniques, qui touche de nombreux autres secteurs que l’industrie automobile.
On ne peut plus appeler cela une nouvelle, mais il est de plus en plus clair que de nombreux concessionnaires de marques sont confrontés à une énorme gueule de bois financière.
Plus précisément, le nombre de demandes d’enregistrement a diminué de pas moins de 35 %. Le niveau actuel est comparable à celui de 1985, année où il y avait beaucoup moins de personnes vivant dans notre pays. La grande question est de savoir où cela va s’arrêter et combien de concessionnaires devront déposer le bilan.
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