Interrogé par RTL, le patron du groupe Stellantis s’est une fois de plus érigé contre le tut à la voiture électrique. Pour lui, ce dogmatisme est inacceptable et il indique que d’autres solutions que la voiture électrique existaient pour sauver la planète… Vraiment ?
Politique
La future norme Euro 7 qui doit entrer en vigueur en 2025 est largement contestée par l’industrie automobile qui la trouve exagérée et surtout handicapante pour les investissements relatifs à la transition vers la voiture électrique. Dans ce contexte, l’ACEA – l’association des constructeurs automobiles européens – vient de faire une série de contre-propositions à l’Europe. Les entendra-t-elle ?
Alors que la fin des moteurs thermiques en 2035 avait été validée par le Parlement européen, le Conseil de l’Union européenne ne votera pas ce mardi 7 mars 2023 en faveur de cette interdiction. Car plusieurs pays, dont l’Allemagne, s’opposent à cette transition.
De plus en plus d’observateurs et de victimes de route dénoncent le laxisme de la justice envers les chauffards. Pour eux, les sanctions actuelles ne suffisent pas et il ne devrait pas être autorisé de laisser à ces chauffards responsables d’accidents mortels en possession de leur permis jusqu’au procès.
Quelques jours à peine après le vote du Parlement européen qui entérine l’interdiction de vendre voitures neuves à moteur thermique en 2035, l’Italie monte au créneau. Les mots sont forts : le ministre de la Mobilité qualifie ce plan de « suicide » et de « cadeau à l’industrie chinoise ».
La proposition prête à sourire, mais elle est très sérieuse : le CD&V voudrait utiliser les câbles aériens des trams et des trains comme réseau de bornes de recharge pour les voitures électriques. Sérieusement ?
Cette fois, c’est bien fini pour le moteur thermique : le Parlement européen réuni à Strasbourg a bien voté la réglementation mettant fin aux voitures à combustion dès 2035.
Depuis de nombreux mois, la Wallonie travaille à une réforme de la fiscalité automobile, mais sans succès. Le dernier projet a été toute simplement rejeté, faute de cohérence. Philippe Henry, ministre de la Mobilité, revient avec une version allégée et qui concerne cette fois uniquement la taxe de mise en circulation.
Le Président de la commission de l’Environnement du parlement européen souhaite que les entreprises ne puissent plus acheter que des voitures électriques dès 2030, soit bien avant la sortie officielle du thermique, prévue pour le 1er janvier 2035.
Les partenaires sociaux se sont mis d’accord : tous les employeurs du pays devront proposer une indemnité vélo aux travailleurs qui se servent de ce moyen de transport. Le remboursement est fixé à 0,27 eurocents du kilomètre.
Les accidents récents – et mortels – lors de rallyes automobiles entraînent une profonde réflexion au sein de cette pratique sportive. En l’absence de législation claire, plusieurs bourgmestres ont décidé d’annuler le calendrier prévu.
Un groupe de chercheurs a mis la main sur des archives du grand pétrolier américain ExxonMobil. Dès 1977, des scientifiques du groupe avaient prédit le réchauffement climatique avec une surprenante précision. Des informations que le pétrolier a naturellement cachées.
Alors que l’Europe et d’autres parties du monde comptent interdire la voiture thermique à l’horizon 2035, certaines autorités prennent le contre-pied de cette mesure. Aux États-Unis par exemple, un état entend même… interdire les voitures électriques en 2035. Réaliste ?
À Lille, les autorités ont pris le contre-pied total de la tendance actuelle : au lieu de sanctionner les automobilistes, ceux-ci sont récompensés financièrement s’ils n’utilisent pas leur voiture pendant les heures de pointe. Révolutionnaire.
L’arrivée du permis de conduire à points en Belgique continue de faire débat. Annoncé pour 2024 par le gouvernement, il semble que les choses soient plus compliquées que prévu. En Wallonie par exemple, la ministre en charge de la Sécurité routière estime qu’il n’a pas sa place, car ses effets sont limités.