Politique

Alors que le gouvernement allemand a fait pression sur la Commission européenne pour obtenir une dérogation pour l’utilisation de carburants synthétiques, le patron de la marque Volkswagen, Thomas Schäffer, fait une sortie fracassante en dénonçant cet accord. Pour lui, les carburants synthétiques ne doivent pas être développés et le moteur thermique est mort.

Alors que l’Europe s’apprête à virer au 100% électrique, on se demande à quoi ressemblera notre mobilité d’ici quelques années. Des chercheurs de la VUB ont imaginé quelle pourrait être la mobilité à Bruxelles en 2050. Les projections sont surprenantes, entre Hyperloop, héliportage des navetteurs, voies navigables embouteillées… Bienvenue dans votre futur !

Selon le journal allemand Der Spiegel, un actionnaire du groupe Volkswagen aurait récemment proposé à Vladimir Poutine de construire et de rebadger des Skoda en Russie pour relancer la marque Volga. Interrogé, le groupe dément…

Habitué à critiquer fermement les autorités européennes pour la marche forcée qu’elles impriment pour le passage à la voiture électrique, Carlos Tavares n’est semble-il pas convaincu par l’idée des carburants synthétiques défendue par l’Allemagne. Pour le puissant PDG, ceux-ci doivent d’abord prouver leur neutralité carbone. Parole d’expert ?

Alors que l’Europe fait la chasse aux moteurs Diesel, un constructeur pour le moins inattendu dans ce domaine semble vouloir tenir tête aux autorités. Mazda vient en effet d’annoncer le lancement d’un tout nouveau moteur Diesel et ses caractéristiques sont étonnantes.

L’Europe a finalement plié sous la pression allemande et elle devrait autoriser la vente de nouvelles voitures thermiques au-delà du 1er janvier 2035, mais à condition que celles-ci brûlent des carburants synthétiques dans leurs cylindres. Mais au fait, c’est quoi un carburant synthétique et comment est-ce produit ?

En 2035, il ne devait théoriquement plus y avoir que des voitures électriques dans les showrooms. Mais c’était sans compter sur la résistance de quelques pays, dont l’Allemagne. Le bras de fer est terminé et un accord vient d’être trouvé entre la Commission et Berlin pour ne pas tuer définitivement le moteur thermique après 2035. Mais il y a des conditions…

L’impasse sur l’avenir des motorisations automobiles en Europe s’aggrave. La Commission refuse en effet de rouvrir l’accord sur l’interdiction des moteurs thermiques en 2035, mais elle pourrait en revanche accepter l’utilisation de carburants synthétiques ou e-fuels.

Le dossier a fait couler de l’encre, mais il a abouti : les députés ont voté une réduction de la fiscalité pour les motorhomes. Elle atteint tout de même -40% sur la taxe de circulation et jusqu’à -35% sur la taxe de mise en circulation.

La Flandre veut devenir un des leaders mondiaux dans le développement des voitures autonomes. La Région vient de lancer une taskforce qui vise à modifier le cadre légal pour favoriser l’accueil d’entreprises versées dans ces technologies.

Le gouvernement oblige de plus en plus les automobilistes à rouler en voiture électrique. Mais qu’en est-il des ministres fédéraux ? À partir de l’année prochaine, ils ne pourront choisir qu’une voiture de service électrique.

L’Europe, qui vise le zéro décès sur les routes en 2050, a décidé d’instaurer un permis de conduire numérique. Une mesure unique au monde et qui s’accompagnera aussi d’une répression plus dure envers les contrevenants.

L’Allemagne, l’Italie et quelques autres pays ont décidé de (re)faire pression sur la Commission européenne afin que celle-ci prenne en considération plusieurs aménagements « réalistes » pour la future norme Euro 7 prévue en 2025. Arriveront-ils à leurs fins ?

La saga sur la taxation des camping-cars en Wallonie touche à sa fin. Mais les propriétaires ne seront pas à la fête, car, bien qu’une baisse de la taxation est envisagée, ceux-ci paieront toujours plus cher que les Flamands ou les Bruxellois.

Une loi sanctionnera bientôt ceux qui font l’apologie de la vitesse sur les routes et en particulier les auteurs de vidéos sur les réseaux sociaux. Les amendes iront jusqu’à 1.000 euros !