Industrie
Ce 2 avril, Donald Trump a fièrement annoncé la levée de droits de douane à l’encontre de plus de 60 pays. L’automobile est touchée de manière uniforme avec un taux de 25% pour tous les véhicules importés. Mais comment les constructeurs européens peuvent-ils réagir face à cette guerre commerciale qui s’annonce sanglante.
Depuis que Carlos Ghosn a quitté ses fonctions de patron de l'Alliance Renault-Nissan, le fossé entre les deux partenaires s'est creusé. Mais un nouvel accord de fiançailles pourrait de jeter les bases d’une nouvelle collaboration, alors que les négociations de fusion entre Honda et Nissan n'aboutissent pas. Que dit cet accord ?
Donald Trump a mis ses menaces à exécution en imposant des droits de douane de 25% sur les véhicules, mais aussi les pièces automobiles importées aux États-Unis. De quoi faire plier les constructeurs et les faire rouvrir des usines ? En fait, l’effet résidera sans doute dans une augmentation considérable des prix. Ce dont Donald Trump « se fiche complètement », selon ses dires.
Les choses semblaient bien aller pour Volvo qui a engrangé de plantureux bénéfices l’an dernier et qui voit son EX30 caracoler en tête des ventes. Mais pour les actionnaires chinois, ces performances sont loin d’être suffisantes. De ce fait, ils viennent de limoger avec effet immédiat le patron, Jim Rowan qui officiait à la tête du constructeur depuis seulement trois ans. Que se passe-t-il donc ?
Ce qui devait être un retour glorieux pour la marque italienne emblématique Lancia s'avère être un échec douloureux pour l'instant. Les ventes de la marque haut de gamme ne progressent pas du tout. Combien de temps le nouveau règne de la société mère Stellantis tolérera-t-il ce malaise ?
L’annonce a retenti comme un coup de canon : Donald Trump vient d’annoncer la mise en place de droits de douane de 25% sur toutes les pièces ou véhicules automobiles à partir du 2 avril 2025. Pour le secteur, c’est un nouveau coup dur. Certains s’en sortiront mieux que d’autres. Et voici lesquels.
L'industrie automobile chinoise est d’ores et déjà reconnue pour la vitesse étonnante à laquelle elle développe, produit et modifie ses véhicules. Pour ne pas se laisser distancer, les Allemands réagissent et ils déploient désormais des imprimantes 3D métalliques qui pourraient permettre de travailler plus vite et de réduire les coûts, tant pour les voitures thermiques que pour les voitures électriques. Qu’en est-il ?
Le jeu de dupe continue-t-il jusque sur le sol européen ? Après avoir levé des droits de douane sur les voitures chinoises pour cause de concurrence déloyale, la Commission enquête sur des subsides de Pékin qui auraient été perçus par BYD pour la construction de sa première usine européenne, en Hongrie. Qu’en est-il ?