La confiance du grand public dans les voitures électriques n’est pas encore acquise. Mais si on se fie aux retours des propriétaires, il y a au moins deux marques qui comblent leurs acheteurs. Et cela ne tient apparemment pas seulement à la voiture en elle-même, mais aussi dans l’approche de ces marques.
Électrique
Mercedes abandonne sa gamme dédiée aux modèles électriques, Volkswagen fait marche arrière sur ses plans d'expansion et, partout, les interdictions de vente des moteurs thermiques sont repoussées. Kia ne l’entend toutefois pas de cette oreille : avec une confiance inébranlable, le Coréen explore de nouveaux horizons en matière d’électrification !
Des voitures amphibies, des véhicules autonomes, la Fiat Multipla… on a déjà vu passer pas mal d’idées farfelues. En voici une autre à ajouter à la liste : la voiture volante. Mais cette fois, il ne s’agit pas d’un simple concept. L’Alef Flying Car va bel et bien entrer en production.
L'autorité italienne de la concurrence sort le grand jeu. Quatre géants de l'industrie automobile - Stellantis, Tesla, Volkswagen et BYD - se retrouvent sous le coup de l'autorité italienne de surveillance pour avoir éventuellement falsifié des informations sur leurs voitures électriques. La question qui se pose est la suivante : dans quelle mesure les marques sont-elles honnêtes en ce qui concerne l'autonomie, les performances des batteries et les conditions de garantie ?
En 2024, la Flandre a installé 6.000 bornes de recharge sur son territoire, contre un peu plus de 700 en Wallonie. Le déséquilibre que tout le monde dénonçait continue donc de se creuser entre les régions et au détriment des automobilistes et de la transition pourtant imposée.
L’évolution récente des moyens de mobilité modifie le paysage et les règles en vigueur. Dans les agglomérations, les places de parking – pourtant en voie de disparition – sont de plus en plus dédiées aux voitures électriques. Mais ces places réservées sont-elles légales ? Et que risque-t-on si on gare sa voiture thermique sur un tel emplacement ?
Un modèle pour gagner de l’argent, comme chez Porsche, des baquets à commande manuelle de sportive ultime et... une motorisation électrique, mais à la condition que celle-ci soit en phase avec la philosophie originelle d’Aston Martin. Voici résumée la stratégie du nouveau boss d’Aston, Adrian Hallmark. Un vrai tournant ou alors une énième tentative vouée à l’échec ?