Ce phénomène est logiquement dû à la crise du coronavirus, qui s’est d’ailleurs poursuivi en janvier, avec un repli de 27,2% des enregistrements et “seulement” 37.735 voitures neuves immatriculées.
Ce résultat est inférieur à celui d’un mois de janvier moyen (49.000 immatriculations en moyenne depuis 2010). Il est cependant bien trop tôt pour attribuer ce retrait à la non-organisation du Salon de l’Auto il y a quelques semaines, l’impact de l ‘événement étant généralement et principalement visible sur les immatriculations entre les mois de mars et de mai, explique la Febiac. Le mois dernier ne comptait en outre “que” 20 jours ouvrables, contre 22 pour janvier 2020, ce qui influence le nombre d’enregistrements ayant pu être traités.
Le recul des immatriculations pour les véhicules utilitaires était de 8% en janvier et même de 39,7% pour les deux roues motorisés (1.072 enregistrements contre 1.779), pour lesquels l’année 2020 a été exceptionnelle.
Tout comme pour le marché automobile, il faudra néanmoins patienter quelques mois avant d’établir un éventuel lien de causalité entre les résultats de ce segment et la non-organisation du Brussels Motor Show. En outre, les personnes ayant acheté une moto attendent souvent les beaux jours et les mois de printemps avant de les immatriculer, interprète la Febiac.
Quant aux résultats nets pour l’année dernière, ils font donc état d’un recul de 19,7%. Sont ici prises en compte toutes les voitures particulières neuves immatriculées en 2020 qui n’ont pas été retirées des listes d’immatriculation dans les 30 jours suivant leur première immatriculation.
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