Comme les véhicules électriques, les véhicules alimentés à l’hydrogène ont l’avantage de ne pas émettre de particules polluantes lors de leur utilisation. Toutefois, en Flandre, la quasi-totalité de la production d’hydrogène requiert encore de l’énergie fossile, générant alors un hydrogène qualifié de “gris”.
Avant d’envisager un hydrogène « vert », la Flandre va passer par l’hydrogène « bleu » : la production reste d’origine fossile mais le CO2 dégagé est capturé en grande partie. Les plus grands débouchés de l’hydrogène pour la Flandre se trouvent dans les industries chimique et sidérurgique, mais les dites émissions de CO2 peuvent aussi être réutilisées pour servir au verdissement du fret routier, maritime ou aérien.
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