Perte de volume et gain de performance sont au programme 2017 pour le Burgmann 400. Plus question d’essayer de ressembler à un 650, un relookage complet lui donne désormais un aspect plus sportif et un style plus dynamique avec, notamment, de nouveaux blocs optiques et des feux arrières LED. Côté performances, le monocylindre de 399cc respectant désormais la norme Euro4 gagne en couple à bas et à mi-régimes alors que le châssis devient plus rigide. Comme tout bon scooter, le côté pratique reste de mise avec un coffre de 42 litres sous la selle, deux vide-poches dans le tablier (dont un avec une prise 12V), un frein à main, sans oublier un passage dans le cadre pour fixer un antivol.
+ photo Suzuki Burgman 400
Sym Jet-14
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Conçu pour les centres urbains, ce nouveau 125 ne manque pas d’arguments pour séduire. Monté sur des roues de 14 pouces, affichant une hauteur de selle de 780mm et un poids de 122kg, le dernier né de chez Sym se montre léger et compact. Bien qu’un peu plus petit, on ne peut nier l’air de famille avec son grand frère, le Cruisym, à qui il emprunte son look sportif. Pour ce qui est de la motorisation, ce 125 peut être équipé soit d’un monocylindre à refroidissement liquide, soit d’un bloc refroidi par air. Le 125 équipé du moteur à refroidissement liquide bénéficie d’une finition plus poussée. Celui-ci sera équipé d’une instrumentation LCD ainsi que d’un freinage couplé associant un disque de 260mm à l’avant et de 220mm à l’arrière, alors que son jumeau ne sera pourvu que d’un système de freinage couplé aliant un frein à disque de 260mm à l’avant et un frein à tambour à l’arrière.
+ photo Sym Jet-14
Cruisym 300
Susceptible de parcourir de plus grandes distances, ce nouveau venu dans la gamme GT est d’ores et déjà prometteur. Son côté racé ainsi que ses plastiques effilés sont parfaitement au goût du jour. S’il est esthétiquement dans le vent, son équipement n’est pas en reste. Signature LED, clignotants intégrés, port USB et prise 12V sont à l’ordre du jour. Côté confort, le Cruisym 300 sera équipé de façon à garantir un confort de longue durée, notamment grâce à sa large selle ainsi qu'à ses repose-pieds «montants», permettant ainsi d’étendre ses jambes. Sous l’assise, on retrouvera un coffre capable d’accueillir aisément deux casques intégraux ainsi que le bloc du GTS300 mis à jour dans le but de répondre aux nouvelles normes.
+ photo Cruisym 300
Sym Mio
Ce petit scooter aux allures rétro reçoit 15cc de plus et devient donc Mio 115, affichant maintenant 9 chevaux. Cette augmentation est essentiellement due au passage à l’Euro4. En plus des nouveaux feux de position et arrière LED, l’instrumentation est également revue. Le compteur analogique entoure à présent un écran digital. Côté rangement, sous la selle, on dispose d’un coffre pouvant acceuillir un petit casque intégral et, dans le tablier, on retrouve une boîte à gants munie d’une serrure ainsi que d’une prise USB.
+ photo Sym Moi
BMW C evolution
Décliné dorénavant sous deux versions, le BMW C Evolution gagne en autonomie et en équipements. La version Long Range (26 ch et 160 km d’autonomie) demandera un autre permis de conduire alors que la version de base reste à 100 km et une vitesse maximale de 120 km/h.
+ photo BMW C Evolution
Honda X-ADV
Si ce projet n’était encore qu’un concept l’année dernière, il est à présent bien réel. Inspiré de l’Integra et de la NC750X, le X-ADV arbore un look inédit et moderne. Il s’agit avant tout d’un scooter avec tout ce que cela implique, dont rangements et boîte auto. Dans ce cas ci, ce n’est autre que la fameuse transmission DCT chère à Honda qui sera montée de série. Côté moteur, on retrouve un bicylindre de 745ccissu de la gamme NC développant une puissance de 54,8 chevaux et pas moins de 68Nm de couple. Le côté aventure implique quelques caractéristiques intéressantes. Instrumentation multifonctions LCD de style «Rallye», béquille centrale, protège-mains empruntés à l’Africa Twin, carter de chaîne, garde au sol de 162mm et une hauteur de selle, relativement haute, de 820mm. Pour le reste, ce petit scooter urbain est monté sur des jantes à rayons de 17 pouces à l’avant alors que l’arrière se contente de 15 pouces. Ce qui a d'ailleurs laissé assez de place au coffre, soit 21 litres sous la selle.
+ photo Honda X-ADV
Kymco AK550
Pour faire face à la star du marché, le constructeur taiwannais a sorti les grands moyens. Avec un moteur bicylindre de 53,4 chevaux, il se classe à la seconde place du classement, juste derrière BMW. Le cadre en aluminium assure une grande rigidité à l’ensemble et permet d’atteindre un poids de 226 kg. La finition est elle aussi montée d’un cran et paraît irréprochable, avec un équipement des plus aboutis: étriers Brembo à fixation radiale, ABS Bosh 9.1, jantes en aluminium et instrumentation entièrement digitale sont autant de points auxquels le constructeur a apporté un grand soin. Côté rangement, en plus des deux boîtes à gants présentes dans le tablier, le coffre sous la selle devrait pouvoir accueillir un casque jet en plus d’un intégral.
+ photo Kymco AK550
Kymco Like 125
Ce scooter rétro est un rien plus moderne, même si la véritable évolution se trouve au niveau du moteur. Le bloc refroidi par air répond désormais à la norme Euro4 et gagne en performances avec ses 12 chevaux. Il se fait également plus silencieux et moins gourmand en carburant. Ce gain de performance s’accompagne de quelques améliorations au niveau de la partie cycle. Le cadre adopte une forme de double berceau lui donnant ainsi plus de rigidité. Le réservoir, quant à lui, migre au niveau du plancher afin d’abaisser le centre de gravité, de quoi garantir une grande agilité. Disponible en version 50, 125 et 150cc, les Like seront tous trois équipés soit d’un freinage couplé soit du système ABS.
+ photo Kymco Like 125
Peugeot Belville 125.
Clin d’œil au célèbre quartier parisien du même nom, Peugeot lance en 2017 son tout nouveau scooter à grandes roues qui est propulsé par l’innovant Smartmotion. Il s’agit d’un nouveau bloc de 125cc à refroidissement liquide, qui intègre les technologies LFE (Low Friction Efficiency) et ACG (Alternative Courant Generator). Réduction des frictions, faible niveau d’émissions et de consommation sont donc au programme (2,1 litres aux 100 km). Faibles émissions ne veut pas dire faible puissance, car le Peugeot affiche quand même 11 chevaux à 7400 tr/min et 10,8 Nm de couple à 5400 tr/min. Côté design, la signature LED sur la face avant et le feu arrière aux trois griffes caractérisent la marque au Lion. Comme sur bon nombre de scooters de la gamme, le Belville bénéficie d’une boîte à gants verrouillable munie d’un port USB, d’un coffre sous la selle et d’un plancher plat. Il sera décliné en deux versions : Allure (avec top-case) et RS (plus sportif).
+ photo Peugeot Belville 125
Peugeot Metropolis 400
La nouvelle version du scooter trois-roues Metropolis 400, découverte à Milan avec un moteur conforme Euro4, se dote également du nouveau système de freinage ABS/SBC ainsi que d’un anti-patinage TCS. A noter qu’en plus de son nouveau système de freinage, Peugeot devient le premier constructeur au monde à offrir un système de Warning automatique qui se déclenche lors de freinages d’urgence. Ce système s’active une fois passé les 50 km/h et s'enclenche lorsque la décélération est supérieure à 6 m/s. Il sera désormais monté sur des roues de 13 pouces ce qui, combiné au nouveau paramétrage des suspensions, devrait être plus confortable. Une série spéciale RX-R plus sportive et munie d’un pare-brise plus petit ainsi que d'un planché en aluminium devrait suivre. Afin de conserver un premier prix dans le segment, la version actuelle en 12 pouces sera conservée.
+ photo Peugeot Metropolis 400
Honda SH 125i
Le scooter à grandes roues de chez Honda a légèrement été revu pour ce nouveau millésime. Avec des lignes plus arrondies, un éclairage à diodes et une mise à jour du moteur. De plus, ce nouveau SH 125i se voit équipé de la SmartKey permettant de déverrouiller guidon et selle, et de démarrer… clé en poche. Côté moteur, il conserve la base eSP avec le système «Idling Stop» qu’il possède depuis quelques années déjà. Le principal changement a lieu au niveau de la cartographie d’injection faisant grimper les performances. En effet, la baisse de consommation à 2 l/100 km devrait permettre d’augmenter l’autonomie jusqu’à 300 km.
+ photo Honda SH125i
Honda NSC 110 Vision
Comme pour la grande majorité des modèles 2017, le NSC 110 passe à l’Euro4. Pour ce faire, il s’équipe du nouveau moteur Smart Power (eSP) combiné au système «Idling Stop» arrêtant et relançant automatiquement le moteur lors de l’arrêt, ainsi que d’un freinage combiné. Honda profite également de cette occasion pour revoir certains aspects pratiques. Le passager verra ainsi son confort augmenter grâce aux repose-pieds avancés et aux nouvelles poignées de maintien. La garde au sol augmente alors que la hauteur de selle est, elle, abaissée à 770mm. Le nouveau NSC 110 gagne donc 25mm sur son prédécesseur.
+ photo Honda Vision
Vespa GTS 125
Comme pour les autres scooters de la gamme, la GTS 125 adopte le nouveau moteur développé par les ingénieurs de chez Piaggio, le iGet. Ce monocylindre à refroidissement liquide et injection électronique développe 12,3 chevaux et 11,1 Nm de couple. Pas de grands changements prévus du côté esthétique, même si quelques modifications ont été apportées à la face avant, aux garde-boue ainsi qu’aux clignotants. Ce seront désormais des LED qui feront office de feux de position. La selle change de revêtement et le coffre permet toujours d’accueillir deux casques jets. La télécommande permettant d’ouvrir la selle, qui restait jusqu’à présent un gadget optionnel, sera désormais disponible de série. Celle-ci vous permettra également de retrouver votre monture dans le noir en allumant les feux. Dernière nouveauté pour 2017: Vespa équipe la GTS d’un système de «Start and Stop» désactivable au guidon, en plus de son système RISS coupant le moteur lors d’arrêts prolongés.
+ photo Vespa GTS 125
Vespa Elettrica
Vespa fait son entrée dans le monde de l’électrique en proposant une version Elettrica 100% électrique. Il devrait s’agir de l’équivalent d’un 50cc proposant de 50 à 60 km d’autonomie. Celle-ci pourra être doublée avec la mise en place d’une deuxième batterie qui condamnerait alors le coffre. Bien qu’électrique, ce modèle reste une véritable Vespa avec tout ce qui a fait sa renommée. Prévue pour l’automne, le tarif annoncé tourne aux alentours de 5.500 €. Un modèle correspondant au segment des 125cc serait en projet.
+ photo Vespa Elettrica
Yamaha XMAX 300
Doté d’un monocylindre de 292cc Blue Core, le nouveau XMax 300 vient compléter la gamme des 300cc chez Yamaha aux côtés de la R3 et de la MT-03. Avec une puissance maximale de 28 chevaux à 7.250 tr/min et un couple maxi de 29 Nm à 5.750 tr/min pour 176 kg, il ne cède pas grand-chose à son grand frère, le 400. La partie cycle s’inspire du TMax en empruntant par exemple son double T. Une assistance électronique TCS sera également prévue afin de conférer à l’ensemble un côté sécurisant. Au niveau des accessoires, la clé disparaît pour laisser place à une SmartKey. Tout se passe désormais au tableau de bord avec les clés en poche. Sur la face avant, on assiste à l’arrivée d’un éclairage entièrement composé de LED avec notamment des feux de route se situant entre les deux optiques de phares.
Côté couleurs, Yamaha décline le 300 en 3 versions : gris mat, blanc ou bronze.
+ photo Yamaha XMax 300
Yamaha TMax
Leader incontesté du segment, le TMax est une valeur sûre. Il fait peau neuve et sera décliné en trois versions: un TMax standard, un TMax SX, plus sportif, et un TMax DX, plus complet. Niveau performances, le TMax permettait déjà de rivaliser dans certains cas avec les motos, mais c’était sans compter l’accélérateur électronique tout droit emprunté aux sportives de la marque, à savoir le YCC-T (Yamaha Chip Controlled Throttle). Le placement de ce dernier a également permis d’autres avancées telles que le Yamaha D-Mode offrant deux modes de conduites, sport ou touring. Ceux-ci ne seront toutefois disponibles que sur les modèles SX et le DX. Au niveau de la sécurité, pas de distinction, tous les nouveaux TMax seront équipés de l’antipatinage TCS (Traction Control System). Parmi les évolutions communes aux trois modèles, on retrouve également un nouvel échappement, une boîte à air repensée ainsi qu’une nouvelle courroie en fibre de carbone moins large. Le châssis se compose d’un cadre en alliage d’aluminium allégeant l’ensemble de 9 kg. Le bras oscillant sera plus long de 40 mm ce qui, combiné à la modification de l’amortisseur arrière, fait évoluer la centralisation des masses. Le TMax reçoit un écran TFT multifonctions et un système de démarrage «Smart Key». Le rangement sous la selle augmente et une prise 12V voit le jour avec un système de verrouillage de la béquille.En plus du Yamaha D-Mode sur les versions SX et DX, on note l’arrivée de l’application «My TMax connect» permettant de tout savoir sur votre nouveau jouet. Côté confort, si le SX se veut plus sportif, la version DX se veut on ne peut plus complète : siège et poignées chauffantes, bulle réglable électroniquement, régulateur de vitesse et suspension arrière réglable. Ce sera également le modèle le plus onéreux de la gamme.
+ photo Yamaha TMax
Yamaha D’elight 125
Pour attaquer 2017 comme il se doit, le nouveau D’elight s’équipe de la technologie Blue Core. Ce nouveau monocylindre de 125cc a été conçu de façon à offrir de bonnes performances tout en réduisant la consommation au maximum. Un empattement très court de moins de 1,28 m ainsi qu’un poids réduit à 99 kg favorisent les déplacements urbains. Son gabarit restreint n’est pas un frein au confort ni au rangement pour autant. Le coffre sous la selle voit son volume légèrement augmenter de façon à pouvoir y ranger un casque intégral. Les deux passagers de ce petit 125 profiteront toujours d’une selle de 630 mm de long. Commercialisé à partir de Mars 2017, il sera disponible en blanc, en rouge ou en noir.
+ photo Yamaha D’elight 125
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