Nos collègues néerlandais d’Autoweek rapportent que le gouvernement espagnol a déjà commandé 26 de ces nouveaux systèmes. Selon le gouvernement local, un tel radar anti-freinage peut réduire de manière significative le nombre de décès sur la route. L’objectif à court terme est de diminuer de moitié le nombre de décès.
Où sont-ils situés ?
Les radars anti-freinage sont positionnés quelques mètres devant une unité fixe et effectuent une mesure séparée pour vérifier si le véhicule a freiné et, si oui, avec quelle intensité. La différence entre la vitesse initiale et la vitesse finale sur le court tronçon en question est donc vérifiée. Et cela ne s’arrête pas là, car un dispositif est également placé après le radar fixe pour détecter si le conducteur appuie à nouveau trop fort sur l’accélérateur, tout cela pour faire disparaître le phénomène de l’excès de vitesse, suivi d’un freinage brusque puis d’un autre dépassement de la limitation.
Nous ne pouvons pas dire où ils se trouvent exactement, mais nous pouvons révéler que les nouveaux systèmes de radar seront d’abord testés dans la région de Navarre (sur les routes secondaires) et que les contrevenants peuvent s’attendre à recevoir une amende. Cette somme varierait entre 100 et 600 euros, en fonction de l’infraction.
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Si l’essai s’avère concluant dans la région de Navarre, il est probable que le reste de l’Espagne, et peut-être la France et le reste de l’Europe, suivront. Après tout, le système serait moins cher que les radars tronçons qui, en Belgique et surtout en Flandre, se multiplient.
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