Aujourd’hui, vous n’entendrez plus parler de Federauto, mais bien de Traxio. Ce changement de nom fait suite à une enquête réalisée par une agence de consultance. En effet, cette enquête a révélé que le terme « fédération » était désuet tout comme le slogan « Ma voiture, ma liberté ! ». A une époque où la mobilité est multiple, c’est assez logique. Par ailleurs, le nom « Traxio » a l'avantage d'être bref et de bien sonner dans les trois langues nationales.
Concrètement, Traxio se présente plus que jamais comme une association de défense des intérêts de cinq grands secteurs d'activités. Pour rappel, aujourd’hui, ceux-ci sont l’automobile (voitures conventionnelles, véhicules hybrides et modèles électriques), les deux-roues, le machinisme agricole et horticole, le génie civil et la manutention et, enfin, les composants et équipements.
Aujourd’hui, ces cinq secteurs comprennent 16 groupements qui rassemblent 16.000 entreprises, emploient 87.400 personnes et réalisent un chiffre d'affaires consolidé dépassant les 105,4 milliards d'euros. Demain, Traxio compte bien accentuer sa mission de lobbyiste et a l’ambition d’être celui grâce à qui les connaissances seront collectées et partagées certes, mais surtout échangées.
Et vous, pensez-vous que ce changement de nom était vraiment nécessaire ?
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