Alors que les contrôles mobiles effectués par la gendarmerie française nécessitent deux hommes en bleu et durent une heure en moyenne, la privatisation permettrait de réduire de moitié le personnel nécessaire et de flasher pendant des périodes bien plus longues. Sans compter qu'en septembre le nombre de voitures radars passerait de 380 à 450.
Ceci devrait permettre d'augmenter considérablement le nombre de PV dressés, ce que dénonce l'association. Le délégué interministériel à la Sécurité routière n'a pas la même opinion: “Il y a dans le refrain 'radars pompes à fric' une profonde erreur, car les chiffres démontrent complètement le contraire. Si le but était de gagner de l'argent, nous serions très loin du compte.”
Publicité – continuez à lire ci-dessous
À la recherche d'une voiture ? Cherchez, trouvez et achetez le meilleur modèle sur Gocar.be