La FIA fait de l’argent partout, surtout en Formule 1, qui reste la poule aux œufs d’or du sport automobile. Heureusement, il y en a aussi dans les poches des pilotes de F1 qui doivent par exemple payer une somme importante pour leur ‘superlicence’, le permis de conduire une F1.
2.100 euros par point
Cette facturation commence par des frais de base de 10 400 euros, puis 2 100 euros par point gagné. Cette situation est particulièrement défavorable au champion du monde Max Verstappen. En effet, le Néerlandais a marqué 454 points au volant de sa Red Bull en 2022, portant son solde à 963.400 euros. Cela donne à « Mad Max » l’honneur de posséder le permis de conduire le plus cher du monde.
C’est un montant follement élevé pour un « permis de conduire », mais heureusement, Verstappen n’en mourra pas de faim pour la cause. En effet, chez Red Bull F1, il perçoit un salaire annuel de 40 millions de dollars, complété par des primes de résultat qui passeront à 20 millions de dollars supplémentaires en 2022, selon Forbes. À ces 60 millions de dollars s’ajoutent de nombreux contrats de sponsoring personnel, ce qui nous amène à conclure que le double champion du monde n’a absolument pas besoin de contracter un prêt pour payer sa coûteuse super licence de F1.
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Les équipes aussi
Non seulement les pilotes, mais aussi les équipes doivent bourse délier. Pour se présenter au départ, elles doivent verser un droit d’entrée de 584.505 euros, qui est augmenté d’un montant par point marqué. Red Bull devra donc débourser la somme astronomique de 5,9 millions d’euros pour être à nouveau présente en 2023. Mais cela ne dérange pas les équipes de pointe, qui empochent encore plus de prix et gagnent ainsi une somme importante dans le cirque décadent de la F1.
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