Jusqu’à présent, les essais de voiture autonome nécessitaient la présence à bord du véhicule d’un ingénieur, capable de réagir en cas de défaillance du système. La Californie, toujours à la pointe en matière de nouvelles technologies, semble juger que les avances sont suffisamment significatives et les dispositifs embarqués suffisamment fiables pour désormais s’en passer.
Toutefois, les compagnies qui souhaiteraient mener ces tests doivent remplir diverses conditions et obtenir un permis dédié. Mais apparemment, les constructeurs et entreprises de la Silicon Valley ne seraient pas plus intéressés que cela par cette nouvelle opportunité, puisqu’aucun d’eux n’a encore entré de demande.
Contactés par nos confrères américains, les géants de la conduite autonome répètent en chœur qu’ils demanderont leur permis «lorsque le moment sera venu». Une manière de dire que la voiture sans conducteur n’est pas pour demain?
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