Selon les chiffres de l’Association des constructeurs chinois, la Belgique figure en troisième place parmi les territoires qui accueillent le plus de voitures chinoises à l’importation. Pourquoi ?
Économie
Alors que la transition forcée vers la voiture électrique est amorcée, certains croient que les moteurs thermiques ont encore de très longs jours devant eux. Parmi eux, le Président du Conseil d’Administration du groupe Renault, Jean-Dominique Senard, qui pense que « le moteur thermique va continuer à vivre pendant au moins 70 ans ». Vraiment ?
La guerre des prix entre Tesla et les constructeurs chinois va-t-elle prendre fin ? C’est en tout cas l’objectif de ces constructeurs qui viennent de signer un accord qui met en place une trêve.
Chaque année, la facture des péages autoroutiers des vacances augmente. Et elle commence à devenir salée. Mais il existe toutefois certaines astuces – étonnantes – qui permettent de réduire les coûts. C’est un ingénieur qui l’a constaté.
Carlos Tavares n’a jamais caché son scepticisme quant à la transition vers la voiture électrique qui ‘il a qualifié de « brutale » dans une interview. En outre, il considère aussi la technologie électrique comme « pas aboutie ». Une nouvelle polémique en vue ?
Les constructeurs européens – et occidentaux en général – sont aujourd’hui clairement menacés par la puissance des fabricants chinois. Face à cette déferlante, les théories vont bon train : ces derniers nous ont pillé nos travaux scientifiques et ils ne pratiquent que de la concurrence déloyale. Vraiment ? Et si les raisons des difficultés des constructeurs occidentaux étaient en fait… européennes ?
Une étude montre que les constructeurs européens sont plutôt pessimistes quant à leur avenir économique. Ceux-ci auraient pris conscience de la faiblesse de l’économie européenne, mais aussi des menaces chinoises et de Tesla.
Alors que le marché de l’automobile se redresse après une période de crise difficile, les prix des voitures d’occasion sont en chute libre ces dernières semaines. Et voici pourquoi.
Selon le consultant AlixPartners, les constructeurs automobiles vont devoir investir plus de 600 milliards de dollars d’ici à 2027 pour continuer à développer la transition vers la voiture électrique. Une somme évidemment colossale et pour laquelle ils ne disposent d’aucune garantie de retour financier. De quoi les mettre en difficulté ? Peut-être…
Cette semaine, la toute dernière Fiesta est sortie de la chaîne de production de l’usine Ford de Cologne. Cet arrêt signe aussi la fin d’une époque symbolique forte pour le secteur automobile.
La Chine vient de dépasser le Japon en volume de voitures exportées : 1,07 million au cours du premier trimestre de 2023. L’empire du Milieu double donc le pays du matin calme. Et pour une seule raison…
On s’attend à ce que notre pays compte 2 millions de voitures électriques d’ici 2030, ce qui nécessite évidemment une infrastructure de recharge suffisante. Des bornes de recharge sont donc installées en Flandre à un rythme effréné, mais la Wallonie est à la traîne.
L’histoire n’est pas banale : le gouvernement italien vient de prendre des mesures de blocage à l’encontre de l’actionnaire chinois du manufacturier Pirelli. Pour les autorités, le consortium Sinochem menacerait l’indépendance de Pirelli. Mais comment ?
Manifestement, la route vers la fin de la voiture thermique en 2035 risque d’être plus compliquée que prévu. Après l’opposition de certains pays, c’est la Cour des comptes européenne qui alerte sur les risques d’échec de la mesure voulue par la Commission. Sur base de quelles observations ?
Jusqu’ici, les voitures électriques convainquent assez peu le public qui, en plus de les trouver trop chères, juge leur autonomie souvent problématique. Une réalité qui est en partie du au poids et aux formes de la majorité des voitures électriques qui se présentent sous les traits d’un SUV. Pour tenter de conquérir le public, les marques relancent dès lors les breaks qui pourraient bien s’imposer comme la carrosserie fétiche pour une voiture à batterie.