L’industrie automobile russe, confrontée à une pénurie de main-d’œuvre, a trouvé une solution originale en faisant appel à des prisonniers.
Économie
Dans les hautes sphères européennes, les tractations vont bon train pour évaluer la possibilité d’autoriser les carburants synthétiques pour alimenter les nouvelles voitures thermiques qui pourraient – très hypothétiquement – être vendues après 2035. Cela dit, le développement et la production des e-fuels auront un coût sociétal que certains jugent trop élevé alors que d’autres voient cette solution comme salvatrice. On fait le point.
Elon Musk souhaite produire bientôt 20 millions de voitures électriques par an pour répondre à la demande croissante. Ces plans d’expansion prévoient un investissement de 4,5 milliards d’euros dans une nouvelle usine à Valence, en Espagne.
En visite dans l’usine de Rennes qui accueillera la prochaine Citroën électrique, le patron de Stellantis a jeté un froid sur son audience en annonçant que des métiers allaient « disparaître ».
Basé à Geel, One Automotive distribue une multitude de marques automobiles chinoises, dont BAIC, DFSK, Seres, JAC et SWM, qui sont prêtes à conquérir notre marché.
En Chine, les ventes de voitures électriques ralentissent, ce qui pousse le gouvernement à maintenir et même élargir ses aides à l’achat. Mais pourquoi la Belgique en fait-elle si peu ?
Si les voitures électriques deviennent de plus en plus populaires, on ne s’attendait pas à ce que l’une d’entre elle devienne aussi rapidement la voiture la plus vendue au monde. Avec 267.171 unités vendues, c’est la Tesla Model Y qui marque ce tournant historique tout comme ce premier trimestre de 2023.
La situation économique actuelle mais aussi les investissements nécessaires pour passer à la voiture électrique vont fragiliser les industriels de l’automobile. C’est ce que pense Elon Musk qui prédit des faillites en cascade.
Coentreprise entre Stellantis, Mercedes et TotalEnergies, ACC vient d’inaugurer la première gigafactory de batterie de France. Un premier pas vers plus d’indépendance vis-à-vis de la Chine. La Belgique pourrait-elle aussi accueillir ce type d’industrie ?
Pendant de nombreux mois, les pénuries de puces électroniques ont entravé tous les secteurs. La situation se résorbe… sauf dans le secteur automobile où les délais de livraison restent plus longs qu’ailleurs. Pourquoi ?
Malgré l’obligation de passer à la voiture électrique en Chine, en Europe et bientôt aux États-Unis dans un délai relativement court, certaines marques et scientifiques mettent en garde sur les dangers d’abandonner totalement le moteur thermique.
L’annonce fait plaisir : la France va accueillir à Dunkerque une gigafactory de batteries pour voitures électriques. Et ce n’est pas tout : le suédois Northvolt renonce aussi à s’installer aux États-Unis pour privilégier l’Allemagne avec une nouvelle méga-usine de cellules. De quoi sauver l’industrie automobile européenne de la menace chinoise ? Pas si vite…
L’embargo russe sur le pétrole ne semble pas être une mesure efficace, car le carburant extrait du plus grand pays du monde continue d’affluer sur le marché européen par des voies détournées. L’Union européenne entend donc prendre des mesures supplémentaires de blocage de ces importantes, ce qui pourrait entraîner de nouvelles hausses de prix à la pompe. Mais est-ce le souhait des automobilistes ?
Le marché automobile est impitoyable. Et certaines marques en font les frais. C’est le cas de Seat dont la disparition est annoncée pour… 2030 ! La puissance du groupe Volkswagen n’aura donc pas suffi à restituer la superbe de cette marque créée en 1950.
À partir du 1er juillet 2023, la déduction fiscale accordée de 100% pour une voiture hybride rechargeable sera réduite. C’est donc la course contre la montre actuellement avec un afflux important dans les concessions afin d’obtenir le plus vite possible un bon de commande.