Contrairement aux ordinateurs que nous utilisons aujourd’hui, les ordinateurs quantiques ne traitent plus les données de manière binaire (l’information est cryptée en séries de 1 et de 0) mais de façon bien plus complexe où chaque unité peut posséder plusieurs valeurs. Cela permet de développer des vitesses de calcul et d’exécution bien plus élevées que n’importe quel ordinateur actuel.
Daimler s’y intéresse à plusieurs égards, notamment pour des applications dans le domaine de la mobilité intelligente et autonome (intelligence artificielle…), mais aussi dans la planification logistique et l’optimisation des processus de production.
De plus, le groupe étudiera également les gains éventuels que la physique quantique peut apporter aux matériaux futurs, notamment aux batteries.
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