La voiture a rapidement rencontré le succès, en raison de son agilité, de son faible poids, de son aérodynamique favorable et de sa qualité de construction. Monté en porte-à-faux à l’arrière, le moteur n’était qu’un modeste “flat-four” de 1.100 cc, refroidi par air, issu de la Volkswagen.
Par la suite des mécaniques de plus en plus puissantes prendront place sous le capot. La 356 fera une très belle carrière sportive, avec de nombreuses victoires à la clé, sur route et sur circuit, en Europe comme aux États-Unis.
Son moteur revendiquait la bagatelle de… 40 chevaux ! Une puissance bien inférieure à n’importe quelle citadine d’aujourd’hui, qui ne l’empêchait pas d’atteindre les 140 km/h en vitesse de pointe. Une valeur honorable pour l’époque.
Porsche a rapidement corrigé le tir car la 356 faisait pâle figure face aux autres marques bien établies : la Jaguar XK120 par exemple développait 160 chevaux, une Bugatti Atlantic sortie dix ans plus tôt en proposait 140, tout comme la Ferrari 166 qui sortira l’année suivante.
Si la montée en puissance a été notable, la 356 est toutefois restée plus modestes que celles-ci, puisque même dans sa configuration la plus puissante, elle ne dépassa jamais les 130 chevaux.
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