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Le freinage, la tenue de route, la sécurité passive… Ces dernières années, l’automobile a fait d’énormes progrès sur ces points. Les voitures anciennes sont-elles dès lors à considérer comme dangereuses ? Faisons le point sur quelques erreurs à éviter absolument pour les rendre aussi sûres que possible !
Le fait que la Belgique soit favorable aux voitures de société a déjà été cloué au pilori par la politique. L’électrification en tant que moyen de réduire les émissions de CO₂ - un objectif qui n'est pas sans importance - n'est pas du tout à côté de la plaque. C'est ce qu'a calculé l'entreprise Acerta, qui a observé un revirement frappant.
À Lochristi, la commune a adopté un nouveau marquage routier à l’intersection de deux rues. Objectif : renforcer la sécurité. Sauf que c’est raté, car les automobilistes comme les cyclistes sont dans l’incompréhension, au point de rendre ce carrefour encore plus dangereux que précédemment.
En mai 2025, les constructeurs automobiles chinois ont atteint une part de marché inédite de 5,4% en Europe, portés par une hausse spectaculaire des ventes, notamment dans les segments hybrides et thermiques. MG, BYD et Chery figurent parmi les locomotives de cette progression.
Tesla a lâché ses robotaxis autonomes dans la ville d’Austin. Mais derrière cette victoire, c’est une réalité plus nuancée qui se dessine : l’événement s’est surtout distingué par une mise en scène qui laisse planer des doutes sur la viabilité de ce modèle qu’Elon Musk poursuit depuis 10 ans.
La marque aux anneaux fait volte-face : alors qu’elle promettait un avenir 100% électrique dès 2026, Audi va prolonger la vie de ses moteurs thermiques pour un paquet d’années.
Une étude de VIAS met en lumière ce que l’on redoute souvent, mais qu’on admet rarement : l’automobiliste belge est trop peu regardant sur la combinaison alcool et conduite. À tel point d’ailleurs qu’à l’échelle européenne, il figure parmi les plus mauvais élèves. La Région bruxelloise bat même tous les records.