L’hydrogène est un vecteur énergétique d’avenir, mais il continue de souffrir de quelques difficultés techniques, notamment pour sa production. Trois chercheurs belges viennent toutefois de mettre au point un nouveau processus qui pourrait révolutionner la production d’hydrogène et permettre le passage à l’automobile électrique.
Hydrogène
Si Volkswagen s’est lancé après le Dieselgate à corps perdu dans les voitures électriques, il n’y a pas que la technologie est batteries qui est envisagée. En effet, le groupe développe aussi l’hydrogène et les piles à combustible qui pourraient aussi représenter une alternative crédible aux besoins de mobilité propre.
Le moteur à combustion semble officiellement condamné à brève échéance. Cela dit, pour un nombre important d’observateurs, celui-ci serait toutefois encore appelé à vivre plusieurs années. C’est notamment l’avis de Peter Vanacker, nouveau CEO de LyondellBasell, géant de la pétrochimie.
La fin de l’ère du pétrole est-elle proche ? On peut se poser la question, car tous azimuts, d’énormes efforts sont déployés pour éliminer les carburants fossiles de notre quotidien. D’accord, mais par quoi le remplacer ? Beaucoup pensent que l’hydrogène reste la solution à privilégier.
Hyundai a annoncé suspendre le développement de ses moteurs thermiques, mais aussi – et pour une durée indéterminée – celui de son projet Genesis à pile à combustible. Une nouvelle pour le moins surprenante alors que la transition vers la voiture électrique s’installe…
Si l’avenir de la voiture est électrique, il ne sera pas fait que de voitures à batteries. En effet, certains constructeurs veulent mises sur l’hydrogène. Toyota y croit dur comme fer. Et il va implanter une usine de production de piles à combustible à Bruxelles.