L’ambiance n’était déjà pas au beau fixe entre Renault et Nissan. Et l’affaire Ghosn n’a certainement pas apaisé les esprits, que du contraire ! A la base, il y a une grande disparité car le constructeur français détient 43% du japonais alors que ce dernier ne possède que 15% de Renault. De plus, Nissan ne possède pas de droit de vote dans les décisions de l’alliance. D’où la colère des Japonais qui souhaiteraient le divorce.
Evidemment, le patron de l’alliance, le français Jean-Dominique Senard essaie de sauver les meubles en déclarant lors d’une conférence : « Le consensus est en réalité, lorsqu’il est obtenu, une force considérable parce que c’est un objectif partagé ». Affirmant une volonté de transparence et de décision commune, ce dernier tacle évidemment son prédécesseur Carlos Ghosn largement critiqué pour ses méthodes autoritaires. Est-ce que ces déclarations vont faire changer d’avis les décideurs de Nissan ? Rien n’est moins sûr…
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