1. La régénération à la décélération
Au même titre que certaines voitures hybrides et même thermiques, les voitures électriques profitent de l’énergie cinétique produite par les roues en cas de freinage et de décélération pour produire de l’électricité et la stocker dans la batterie ; et donc la recharger.
2. La recharge à domicile
Souvent pointé du doigt, le réseau de bornes de charge chaotique et clairsemé est l’un des principaux freins à l’achat d’une voiture électrique dans l’esprit populaire. Ce qu’encore trop de gens ignorent, c’est qu’il est tout à fait possible de charger sa voiture à domicile, sur une prise classique. Pour une charge plus rapide, mieux vaut toutefois faire installer une borne de charge plus puissante (22 kW) moyennant un modique supplément pour repartir chargé à bloc en quelques heures.
3. L’autonomie, faux problème
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Pierre d’achoppement principale de l’auto électrique : l’autonomie « limitée ». En effet, lorsque les moteurs thermiques permettent 700 à 1.000 km sur un « plein », les électriques n’en autorisent « que » 200 à 450. Sauf que lorsque le réservoir est vide, il faut se rendre à une station-service pour ravitailler les premières. Avec les secondes, le plein se fait « tout seul » pendant que vous vaquez à vos occupations habituelles. Et vous repartez chaque jour avec une autonomie complète. Quand on sait que la moyenne quotidienne des belges est de 41 km, cela laisse une certaine marge, non ? Et pour les vacances, vous allez me dire ? Je suis sûr que vous trouverez d’autres solutions…
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