À la fin du mois dernier, le Parlement flamand s’est prononcé contre l’introduction de la taxe routière bruxelloise. En raison d’un manque de consultation, et même le mot “intimidation” est tombé. Le ministre des finances, Sven Gatz, de l’Open VLD, a également confirmé que les politiques n’ont pas encore pris de décision sur la question.
Le Cabinet signale que le montant susmentionné est déjà enregistré de toute façon, “au cas où la décision tomberait”. Si le feu vert est donné, cela permettra, entre autres, de financer le réseau de caméras.
De Tijd rapporte également qu’une étude réalisée par l’administration en coopération avec un cabinet d’avocats montre que les plans tarifaires étaient déjà prêts en octobre. Ces documents font référence à un montant maximum de 6 euros pour entrer à Bruxelles, suivi de frais supplémentaires par kilomètre. Aux heures de pointe, il en coûterait 1 euro pour franchir les frontières de Bruxelles, mais multiplié par un facteur dépendant de la capacité fiscale du véhicule.
Les Verts sont pour
On parle de 7 heures à 10 heures et de 15 heures à 19 heures pour les heures de pointe. Au-delà, le péage (calculé pour la multiplication) est réduit de moitié, à un demi euro. En outre, les conducteurs devront tenir compte d’un coût supplémentaire de 18 cents/km aux heures de pointe et de 9 cents/km aux heures creuses. Il existe également une carte journalière pour les touristes ou pour ceux qui ne veulent pas partager leurs données avec le gouvernement. Le taux varierait entre 10 et 20 euros.
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L’un des grands défenseurs de ce péage très controversé est Elke Van den Brandt van Groen. “Les embouteillages sont trop importants et la qualité de l’air est mauvaise”, selon l’article de De Tijd.
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