T&E a pris en compte “tous les critères possibles” comme les émissions de CO2 liées à l’utilisation du véhicule mais aussi celles liées à la fabrication des batteries ou à la source d’énergie utilisée pour alimenter celles-ci.
Dans “le pire des cas”, soit une voiture électrique dont la batterie a été fabriquée en Chine et dont le conducteur habiterait en Pologne (pays dont le mix énergétique fait la part belle au charbon) et donc y roulerait, ses émissions restent plus faibles qu’une voiture thermique, soit 22% de moins qu’une voiture diesel et 28% qu’une essence, selon les calculs de T&E.
Dans le scénario le plus favorable d’une voiture électrique dont la batterie aurait été fabriquée en Suède et dont le conducteur habiterait également dans ce pays, les émissions seraient même 80% plus faibles que pour une voiture diesel et 81% moins élevées qu’une voiture essence.
Une voiture électrique conduite en Belgique et dont la batterie y serait produite émettrait 65% moins de CO2 qu’une voiture thermique, selon T&E.
Cette ASBL européenne, qui défend une mobilité basée sur le développement durable, estime que les voitures électriques permettront de réduire d’autant plus les émissions à l’avenir que l’électricité utilisée pour les batteries sera de plus en plus d’origine renouvelable.
Publicité – continuez à lire ci-dessous
T&E a publié en ligne son outil de comparaison, qui sera mis à jour dès que de nouvelles données seront disponibles, assure la plateforme européenne.
À la recherche d'une voiture ? Cherchez, trouvez et achetez le meilleur modèle sur Gocar.be