La Ferrari en question n’est autre qu’une 250 GTO de 1964, année où seuls 3 des 36 exemplaires de ce modèle ont été fabriqués. Une voiture qui faisait partie de la collection de leur père, et qui était exposée au musée familial privé jusqu’au décès de ce dernier en 2012. Celui-ci, passionné de voitures sportives était notamment le créateur et le propriétaire du circuit du Mas-du-Clos.
En 2014, l’aîné décide de céder la voiture à un riche industriel taiwanais contre la modique somme de 38 millions d’euros sans en informer ses frères et sœurs, arguant que son père lui avait légué le bijou roulant dans les années 70 et qu’elle était donc sa propriété personnelle. Une version des faits que contestent les cadets, qui estiment que la Ferrari faisait partie de l’héritage et quelle était « le joyau de la collection » et devait donc y rester.
Ce sera désormais aux tribunaux de trancher.
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