Fin septembre, le nouveau gouvernement Vivaldi a annoncé l’interdiction des voitures de société non électriques à partir de 2026, ainsi que l’arrivée du permis de conduire à points en Belgique. Nous serons confrontés à ce dernier bien plus tôt, du moins si cela dépend de Vincent Van Quickenborne de l’Open VLD. Dans sa déclaration politique présentée à la commission parlementaire de la justice mardi dernier, le ministre de la justice a déclaré la guerre non seulement aux propagateurs de haine sur Internet, mais aussi aux délinquants de la route et aux récidivistes en particulier. Son seul problème est que le ministre de la mobilité d’Ecolo, Georges Gilkinet, doit s’occuper de la question et que sa politique “n’est pas encore prête” : “Le permis de conduire à points est toujours en cours d’examen”, a répondu son cabinet.
Le permis de conduire à points est déjà une réalité dans plus de 20 pays européens et fait l’objet d’un débat politique en Belgique depuis très longtemps. Dans le code pénal belge il est cependant mentionné depuis 1990, bien qu’il n’ait jamais été mis en place parce que le risque d’être pris était beaucoup trop faible selon nos gouvernements précédents. L’installation d’alcolocks, par exemple, n’a jamais été un succès.
Source et photo : BELGA
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