Selon l’Agence européenne pour l’environnement (EEA), près d’un quart des NOx présents dans l’air sont générés par le trafic automobile, rappelle la Febiac.
“Les grandes améliorations technologiques apportées à toutes les automobiles, dont les voitures diesel, le potentiel de véhicules à faibles émissions ainsi que l’émergence des deux-roues, de la mobilité partagée et d’autres alternatives, contribuent à l’obtention d’une meilleure qualité de l’air”, se réjouit cependant Luc Bontemps, administrateur délégué de la fédération.
Selon les dernières mesures, la circulation automobile est à la base de 44.329 tonnes d’émissions d’oxydes d’azote dans l’atmosphère, ce qui constitue 23% des émissions totales de Nox en Belgique. D’ici 2025, ces émissions seront ramenées à 20.000 tonnes, affirme la Febiac.
Pour la fédération, des mesures concrètes peuvent être prises pour améliorer les choses.
A l’approche des élections, elle recommande ainsi un avantage fiscal permanent pour les véhicules à faibles émissions, une prime à la casse pour les anciennes voitures diesel, une redevance kilométrique intelligente, un investissement dans la comobilité, la synchronisation des feux de circulation, l’usage des datas de mobilité, l’expansion rapide d’un dense réseau de recharge pour voitures électriques ou encore le développement de systèmes d’autopartage.
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