Pour son deuxième mandat, Donald Trump a décidé de tout changer. Et de prendre des mesures radicales pour le secteur automobile. Après avoir annoncé des droits de douane carabinés pour les produits importés, le nouveau président a aussi l’intention d’assouplir le cadre qui définit les normes d’émissions des véhicules.
Environnement
Dix ans avant nous, la Norvège cesse de vendre de nouveaux moteurs à combustion pour les voitures parti-culières. Cela nous donne un aperçu de notre avenir.
La qualité de l'air s'est améliorée ces dernières années à Anvers et à Gand, selon une étude de l'Agence fla-mande de l'environnement (VMM). Les chercheurs expliquent cette évolution par l'existence de zones à faibles émissions.
La barrière à franchir pour que les conducteurs abandonnent leur diesel ou leur essence semble élevée. Une fois qu'ils ont franchi le pas, les conducteurs électriques restent dans l'ensemble assez fidèles à leur choix. Ce n'est pas le cas dans notre pays, où la tendance inverse se dessine.
Les véhicules électriques sont souvent perçus comme une solution pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Si c’est vrai, ça l’est en partie, car il faut tenir compte de plusieurs variables qui rendent la voiture à accumulateur plus ou moins économe en carbone.
La capitale française vient de franchir une nouvelle étape dans sa lutte contre la pollution (et l’automobile) en interdisant la distribution de Diesel dans de nombreuses stations-service. Un signal fort qui pourrait inspirer d’autres villes européennes. Aussi à Bruxelles ?
En matière de réduction des émissions de CO₂ des voitures neuves, la Belgique fait partie du peloton de tête de l’Union européenne, rapporte le journal économique De Tijd. Les émissions moyennes des voitures neuves en Belgique sont nettement inférieures à la moyenne de l’UE. Exemplaire, mais comment cela se fait-il ?
La commission Environnement du parlement bruxellois a voté pour un report de la zone basse émission (LEZ), permettant aux voitures Diesel Euro 5 et essence Euro 2 de continuer à circuler jusqu’en 2027. Une décision qui divise, mais qui reflète les préoccupations économiques et sociales des citoyens.
La ville d’Anvers va sévir contre les « écologistes » qui dégonflent les pneus des SUV. Après que le conseiller municipal Niel Staes (Groen) a posé une question au bourgmestre Bart De Wever à ce sujet, il a été révélé que l’un des contrevenants pris en flagrant délit … est lui-même, candidat Groen.
De nombreux bruxellois sont certainement très heureux du report prochain de la LEZ pour les voitures Diesel Euro 5 qui pourront encore circuler jusqu’en 2027 dans la région de la capitale. Cela dit, ce qui n’a pas été dit, c’est que ce report va aussi coûter des millions d’euros à la Région. Et donc aux habitants de Bruxelles.
Bruxelles s’apprête à repousser l’interdiction des moteurs Diesel Euro 5 à 2027 alors qu’elle était initialement prévue pour 2025. Une décision qui soulève des interrogations, alors que ces véhicules représentent 20% du trafic selon les statistiques et génèrent 40% des émissions d’oxyde d’azote. Ce qui mettrait en danger la santé des Bruxellois. Mais jusqu’à quel point ?
Les voitures seront-elles bientôt équipées d’un revêtement en cuir artificiel fabriqué à partir de chanvre, également connu sous le nom de cannabis ? Une entreprise allemande espère que ce matériau sera prêt à être produit dans quelques années.
Le gouvernement wallon a abandonné l’idée d’une zone de basses émissions (LEZ) à l’échelle régionale. Désormais, ce sont les communes qui se voient transférer la liberté d’instaurer ou non des restrictions pour les véhicules les plus polluants. Mais avec quelles règles ? Car cette délégation pourrait aussi être le point de départ d’un vrai chaos pour les automobilistes.
La chose étant dans l’air et elle se concrétise finalement : l’interdiction de circulation des Diesel Euro 5 prévue au 1er janvier 2025 n’aura finalement pas lieu sur le territoire de la capitale. Celle-ci est reportée à 2027. Soit 2 ans de sursis pour les automobilistes qui devaient se séparer de leur ancien véhicule. Voilà qui va détendre la situation, mais aussi les tensions sur le marché de la voiture d’occasion.
À partir de 2025, les normes européennes en matière de CO2 seront de nouveau beaucoup plus strictes, avec des amendes élevées pour ceux qui ne les respectent pas. Paradoxalement, cela pourrait rendre les voitures électriques plus abordables.