Si l’on en croit le laconique communiqué publié par la marque, ce départ «volontaire» a tout d’un départ forcé, qui s’est fait «en accord avec le conseil de surveillance» avec effet immédiat.
L’homme aurait, en réalité, été parfaitement au courant de la présence du logiciel incriminé sur les moteurs 3.0 TDI, et aurait couvert les agissements de ses équipes. Il lui serait notamment reproché d’avoir menti sous serment lors de son audition devant la commission d’enquête américaine.
Après une première expérience chez Audi de 1990 à 1996, Knirch avait réintégré la marque en mai 2013 au poste qu’il occupait jusqu’à aujourd’hui. Le nom de son successeur n’est pas encore connu.
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