Le constructeur japonais annonce avoir pris cette décision pour concentrer ses efforts sur le développement des voitures électriques, segment dans lequel la marque espère multiplier ses ventes par six d’ici cinq ans.
Si la marque ne communique pas de chiffres précis quant à ses volumes européens, cette décision pourrait être un coup dur pour son partenaire Renault, qui fournit les moteurs diesel à l’ensemble de l’Alliance. Nissan n’a toutefois pas dévoilé de calendrier pour cette disparition programmée, annonçant simplement travailler graduellement.
Nissan n’est pas le premier constructeur à se détourner du diesel : Toyota, mais aussi Subaru ont déjà annoncé des décisions similaires qui entreront en vigueur dans les deux prochaines années.
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