C’est l’association de défense des automobilistes Freesponsible qui tire la sonnette d’alarme. Après avoir comparé les exigences des différentes villes qui ont ou qui vont instaurer une LEZ, un manque flagrant de concertation est constaté. En pratique, c’est le niveau de pollution Euro qui détermine l’acceptation gratuite, payante ou l’interdiction pure et simple d’un véhicule dans la ville concernée.
Pour 2020, il apparait que certains diesels pourront circuler librement à Bruxelles ou dans les villes wallonnes concernées, alors que leur accès à Anvers ou Gand sera payant ! La Wallonie, dernière région en date à avoir instauré des LEZ (chaque commune pourra instaurer une pareille zone sur son territoire à partir de l’année prochaine) ne s’est manifestement pas alignée sur le modèle de la Flandre. Un autre exemple cité par Freesponsible et la tolérance des véhicules de collection (en plaque O) à Bruxelles, qui n’est pas d’application en Flandre. Développées de façon totalement anarchique et sans concertation, ces zones de basses émissions apparaissent de plus en plus comme des décisions politiques hâtives destinées, comme à Anvers, à faire rentrer de l’argent dans les caisses de la commune. Il est grand temps de trouver des solutions adaptées, équitables et non discriminatoires…
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