Le profil des 850 conducteurs concernés analysés par l’IBSR est celui d’un homme dans 86% des cas. La plupart explique ce délit de fuite par une autre infraction commise : 42% étaient sous influence de drogues ou d’alcool et 16% n’étaient pas en ordre de permis ou d’assurance.
Le risque de se faire prendre après un délit de fuite est de 30 à 50%. Plus l’accident est grave et plus ce risque est élevé. Cela ne dissuade malheureusement pas tous les conducteurs et une étude comparative montre qu’avec 4%, la part des délits de fuite après un accident mortel est nettement plus élevée en Belgique que dans d’autres pays. Seul le Royaume-Uni fait pire.
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