Dans une tribune publiée par Le Figaro, Alain Bonnafous ne nie pas les deux inconvénients initiaux du diesel : les émissions de particules fines aux effets nocifs reconnus et le dangereux dioxyde d’azote (NO2) qui favorise la formation de particules, notamment plus fines.
Mais il souligne, qu’en regard : « le diesel a des avantages substantiels par rapport à l’essence : il émet 15 à 20 % de moins de CO2, gaz inoffensif mais qui alimente l’effet de serre, et nettement moins de monoxyde de carbone (CO) et d’hydrocarbures ; à l’exception du benzo(a)pyrène, souvent cité car cancérigène et produit essentiellement par des moteurs diesel anciens. »
Alain Bonnafous précise également que : « Le régulateur européen a été moins sévère pour la contrainte du nombre qui concerne les particules les plus fines puisqu’il a autorisé jusqu’en 2017 une émission dix fois supérieure à celle d’un moteur diesel (6000 milliards par km). Il est cependant prévu que pour les moteurs en cours d’homologation, l’alignement sur le diesel sera assuré. »
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