Les équipes des forces de l’ordre qui sont assignées au contrôle de la vitesse et des véhicules sont très certainement confrontées à des scènes rocambolesques tandis qu’elles doivent aussi faire face à des excuses toutes plus loufoques les unes que les autres. Nouvelle preuve en a encore été donnée la semaine dernière à Fontenay-Trésigny, en Seine-et-Marne (France) lorsque des policiers ont intercepté une voiture lancée entre 180 et 200 km/h.
Les policiers ont manifestement éprouvé quelques difficultés à arrêter le contrevenant qui ne semblait n’avoir aucune intention de s’arrêter malgré les nombreux signes envoyés par la maréchaussée.
Une excuse étonnante
Finalement, le conducteur a daigné s’arrêter. Et quelle ne fut pas la surprise des forces de l’ordre lorsque celui-ci a expliqué avoir roulé aussi rapidement afin de tester le turbocompresseur de la voiture d’un ami, une Seat Ibiza. Plus fort encore : l’homme soutient aussi ne pas s’être arrêté directement, car il n’aurait pas vu les policiers en raison de la fumée qui se dégageait à l’échappement. Difficile à croire.
Naturellement, les excuses de l’homme n’ont pas fait mouche et celui-ci s’est vu retirer son permis de conduire. Celui-ci devra comparaître devant le tribunal pour voir la sanction fixée. Et il risque évidemment très gros, les tribunaux français étant plutôt sévères. Heureusement pour lui, son excuse bidon et sa vitesse excessive constituent ses seules fautes, car il n’était ni sous l’emprise de l’alcool ni sous celle de stupéfiants – pourtant, avec une telle excuse, on aurait pu le croire.
Publicité – continuez à lire ci-dessous
Le propriétaire de la voiture n’est quant à lui pas inquiété. Il devra simplement aller chercher son véhicule à la fourrière.
À la recherche d’une voiture ? Cherchez, trouvez et achetez le meilleur modèle sur Gocar.be !
À la recherche d'une voiture ? Cherchez, trouvez et achetez le meilleur modèle sur Gocar.be