En effet, dans la plupart des villes, vous devez payer afin de pouvoir vous stationner. En cas de non-paiement, la ville ou la commune rédigera une rétribution, parfois par l’entremise d’une société privée. Dans cette situation, il n’est pas question d’amende de stationnement au sens juridique car ces dernières peuvent uniquement être rédigées par la police, à quelques exceptions près (sanctions administratives communales ou SAC).
Jusqu’à 2.000 € et le retrait de permis
En pratique, se garer sur une piste cyclable, un passage pour piétons, le trottoir, un arrêt de bus, à moins de 5 mètres d’un carrefour ou sur le carrefour même (idem pour les feux de signalisation), devant une porte de garage, le long d’une ligne jaune interrompue, à un endroit réservé aux handicapés, est un mauvais stationnement. Très souvent, il s’agit d’une infraction du 2e degré et les amendes vont de 160 à 2.000 €, en passant par la déchéance du droit de conduire (attention si vous avez commis 3 infractions en tant que jeune conducteur !). S’il s’agit d’une sanction administrative communale (SAC), les montants varient de 58 à 345 €.
À cela, il faudra parfois ajouter les frais de remorquage, pensez-y !
Image via police.be
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