Globalement, la mécanique n’a pas souffert. Les testeurs rappellent que les 1.6 et 2.0 BlueHDi (diesel) sont des moteurs avec une fiabilité excellente, contrairement au 1.2 PureTech (essence) qui connaît pas mal d’avaries depuis son lancement (L’Argus le dit mais de notre côté aussi, nous avons eu écho de quelques problèmes concernant ce trois-cylindres turbo essence). Seul pépin à signaler : une fuite de… liquide lave-glace, vite solutionnée en remplaçant un tuyau.
De légers défauts à l’extérieur
Que ce soit sur le 3008 ou même sur une 308 récente (croyez-en notre expérience), les mêmes soucis, il est vrai peu contraignants, reviennent : quelques sifflements au freinage après 1 an accompagnés de légers grincements des suspensions sur les casse-vitesse. Les parties en plastique, sensibles sous fortes chaleurs, peuvent aussi souffrir de quelques bâillements et à la longue, le coffre peut grincer quand on l’ouvre et le ferme.
Bruits de mobilier
Toujours selon L’Argus, les défauts les plus dérangeants apparaissent à bord. Après 50.000 km, des bruits de mobiliers se sont fait entendre. Quelques défauts de finition sont également visibles (écarts d’assemblage, pièces qui se détachent, dont la peinture s’écaille, etc.). D’ailleurs, même selon les documents internes chez Peugeot, 39% des problèmes du 3008 concernent l’habitacle auxquels il faut ajouter 9% pour le GPS et 7% pour la climatisation. La grande majorité de ces défauts ont été solutionnés en 2018.
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On vous passe les nombreux détails mais vous savez maintenant l’essentiel. Notre conseil ? Optez pour un 3008 produit après 2018. Et rappelons également que l’expérience de L’Argus ne se reflète pas forcément chez tous les clients du 3008 !
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