Le but est évidemment de désengorger les routes aux heures de pointe, soit en favorisant les déplacements en horaire décalé, soit en incitant à l’usage des transports en commun. De la première phase de test menée sur 1.200 conducteurs sélectionnés, il ressort que ceux-ci ont légèrement réduit l’usage de leur véhicule, permettant une réduction théorique de 5,5% du trafic, et jusqu’à 8% en zone urbaine. Est-ce suffisant pour justifier une mise en application d’une telle mesure ? Pas nécessairement, car pour la Febiac (Fédération Belge de l’Industrie, de l’Automobile et du Cycle) notamment, l’échantillon était trop restreint et pas suffisamment représentatif.
Pour rappel, le conducteur belge moyen parcourt 17.824 kilomètre par an. Avec les tarifs de taxation proposés, cela correspondrait à une taxe annuelle de quelque 1.000 euros.
Et vous, êtes-vous pour ou contre l’application de la taxe au kilomètre ?
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