Tout s’explique, évidemment : ces Jeux Olympiques vont se dérouler à Tokyo et le Japon est le pays où la marque espère écouler la majeure partie des exemplaires de sa berline à hydrogène. A l’occasion de ces Jeux, la visibilité sera plus que maximale.
Concrètement, le constructeur a versé cette somme astronomique sur le compte du comité international olympique pour avoir le droit d'utiliser les anneaux de l'épreuve à travers le globe pour ses produits. L'autorisation d'exploitation vient de prendre effet et est valable jusqu'à 2024. Toyota pourra également utiliser son statut de partenaire commercial aux Jeux Olympiques d'hiver de 2018, qui se tiendront en Corée du Sud. Qui dit mieux !?
Le jour de l’accord, Akio Toyoda, le grand patron de Toyota a juste déclaré : «Le partenariat olympique est la plateforme parfaite pour démontrer au monde entier nos technologies de mobilité future.» Ce n’est certainement pas le comité qui osera dire le contraire… Et c’est même encore plus vrai quand on sait que 35 stations de ravitaillement en hydrogène ouvriront progressivement dans Tokyo d'ici 2020.
Et vous, pensez-vous que la signature d’un tel chèque fera vendre plus de Mirai ?
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