La chute du Diesel
Entre 2013 et 2016, nous assistons pour la première fois à une forte perte de vitesse de l’offre du Diesel. Leur part de marché baisse jusqu’à 72 %, le début d’une tendance qui n’a pas encore atteint son point le plus bas.Et aujourd’hui ?
Les voitures publiées avec une date d’immatriculation en 2017 ou 2018 ne sont plus qu’à 54 % des diesels, les moteurs à essence représentent quant à eux 43 %. Cela préfigure-t-il un scénario de parité 50/50 pour l’an prochain ?Publicité – continuez à lire ci-dessous
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