Développé sur la base de l’i20, le Hyundai Bayon est reconnaissable au premier regard avec des feux de jour joints par une fine entrée d’air, par une calandre noire de dimension généreuse et par des doubles feux à l’avant.
L’avant, tout en rondeurs, contraste avec l’arrière, plus géométrique, qui donne à son profil une lignée brisée apportant du dynamisme à l’ensemble. Une impression renforcée par les feux arrière en forme de boomerang, reliés entre eux par une bande réfléchissante.
Le Bayon utilise des astuces simples pour paraît plus grand qu’il n’est en réalité (4,18 m) comme le prolongement visuel de la lunette arrière avec un bandeau noir brillant de bonne taille.
Pour lui donner des airs de baroudeur, les stylistes de Hyundai lui ont ajouté des éléments typiques des SUV comme des tours de passages de roues en plastique noir mat, ainsi que des sabots avant et arrière en finition satinée.
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Spacieux
Sobre et accueillant, l’habitacle a de l’espace à revendre, que l’on soit assis avant ou l’arrière. Les matériaux employés sont robustes et les sièges offrent le moelleux nécessaire pour effectuer de longs trajets à bord. Le coffre dispose d’une capacité de 411 litres, ce qui est tout à fait correct lorsqu’on connaît ses mensurations raisonnables.
On peut de nouveau saluer le travail des designers du Bayon qui ont réussi à créer une planche de bord qui n’est pas surchargée, tout en conservant les commandes physiques nécessaires au bon fonctionnement de la voiture. Bien intégré, l’écran central de 10,25 pouces du système d’infodivertissement se veut facilement lisible.
L’instrumentation numérique est également une réussite en n’étant pas masquée par le volant comme c’est souvent le cas chez la concurrence.
Deux moteurs essence
En ce qui concerne les motorisations du Bayon, Hyundai joue la carte de la simplicité, de façon à rendre la Bayon accessible à tous. En entrée de gamme, il dispose d’un moteur 4 cylindres 1.2 de 84 ch. Cette proposition est secondée par le bloc 1.0 T-GDI 3 cylindres qui développe 100 ch. Tous deux sont disponibles avec une boîte manuelle à 6 rapports, alors que le second peut être associé à la transmission DCT 7 automatique à double-embrayage.
Quelle que soit la motorisation choisie, le Bayon montre une belle vitalité, aidé il faut le dire par sa masse qui reste sous les 1.200 kg. Grâce à ses mécaniques agréables et à son comportement qui se montre très rigoureux, le Bayon est très agréable à l’usage.
Si on ajoute à cela une consommation très raisonnable et un espace intérieur très généreux, il mérite franchement le détour !
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