En 1964, l’Aston Martin DB5 est devenue l’une des voitures les plus emblématiques du cinéma avec Goldfinger, le troisième opus de la saga James Bond. Outre son style racé et son moteur puissant, elle est aussi entrée dans la mémoire collective grâce à tous ses gadgets tels que le siège passager éjectable ou les plaques d’immatriculation rotatives.
L’histoire de la Jaguar Type E débute au début des années 60 mais ce n’est qu’en 1999 qu’elle a connu son heure de gloire dans un film d’espionnage, aux mains d’un autre agent secret : le loufoque Austin Powers. Ce dernier conduisait alors un modèle cabriolet recouvert d’un énorme Union Jack, le drapeau britannique.
Si vous rêvez de vous prendre pour l’un de ces deux personnages, sachez la cote de la Jaguar Type E se montre largement plus accessible que celle de la DB5. Comptez de 80.000 à 100.000 euros pour la première, contre presque un million pour la seconde, gadgets non compris !
A l’usage, l’Aston Martin est une vraie GT, avec de la puissance brute, une sonorité sourde et une finition de haut niveau. La Jaguar, surtout dans cette première série, est plus sportive, avec certes moins de puissance, voire moins de « caractère moteur » en dépit d’architectures très similaires (6 cylindres en ligne, avoisinant les 4 litres dans les deux cas), mais un châssis plus léger et sophistiqué. Avec l’Aston en coupé 2+2 et la Jaguar en roadster 2 places, vous avez deux voitures très complémentaires.
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