Édito
Tous les lundis, Gocar.be vous propose l'édito qui analyse un sujet du secteur. Aujourd'hui: : Carlos Tavares et son plantureux parachute doré. Tavares a été remercié en décembre dernier. La raison de la séparation : son incapacité à redresser la barre du bateau Stellantis. Mais la sortie est royale : le groupe va verser 35 millions d’euros à son ancien dirigeant.
Chaque lundi, un rédacteur de Gocar.be vous présente l'édito de la semaine, avec un regard neuf sur le secteur. Aujourd'hui, nous nous intéressons à la stratégie du groupe Stellantis dont les ventes ont chuté de façon spectaculaire ces derniers mois. Une déroute qui fait penser à celle d’un géant de l’automobile britannique à la fin des années 70.
Chaque lundi, un rédacteur de Gocar.be vous présente l'édito de la semaine, avec un regard neuf sur le secteur. Aujourd'hui, nous nous intéressons à la stratégie électrique de Mercedes. Elle n'a pas eu beaucoup de succès jusqu'à présent, mais avec la nouvelle CLA, les étoiles semblent soudain très favorables.
Tous les lundis, un rédacteur de Gocar.be vous propose l'édito de la semaine qui vous donne un autre aperçu du secteur. Aujourd'hui : la leçon américaine. L'absence de « patronage gouvernemental » qui a tué les constructeurs automobiles américains pourrait servir de leçon à leurs homologues européens. Car l'histoire a parfois tendance à se répéter.
Tous les lundis, un rédacteur de Gocar.be vous propose l'édito de la semaine qui vous donne un autre aperçu du secteur. Aujourd'hui : BMW. L'industrie automobile allemande est exsangue, ce qui laisse même des traces sur les grands fleurons du secteur. Mais au sein de cette arène, un acteur résiste mieux que ses concurrents : BMW. Quels sont ses secrets ?
Tous les lundis, Gocar vous propose l'édito qui analyse un sujet du secteur. Aujourd'hui: Northvolt. Northvolt, c’était le fleuron européen de la production de batteries à destination du secteur automobile. Mais tout ça, c’est fini : l’entreprise suédoise vient de déposer le bilan pour de bon. Un échec de taille pour l’Union européenne qui, soi-disant, entendait réinvestir dans des secteurs stratégiques, dont l’automobile.