Le patron de PSA explique ainsi à AutoExpress : « Si vous voyez la manière dont la réglementation CO2 est définie, plus la voiture est petite, plus les exigences sont importantes. Atteindre l’objectif de réduction des émissions de CO2 sera ainsi plus difficile pour un petit modèle qu’un gros. »
Du côté de Luca de Meo, le patron de Seat, le son de cloche est le même : « C’est absurde » explique-t-il à AutoExpress : « Il est plus facile de réduire les émissions d’une grande berline de 96 à 85 g/km de CO2 que d’une petite voiture. » En ce qui concerne Opel ou Renault, les citadines ne sont pas prêtes d’être renouvelées tout de suite non plus.
Est-ce que cela signifie dès lors la fin du marché des petites voitures ? Il ne faut pas être pessimiste car il existe des exceptions : Hyundai vient ainsi de présenter une toute nouvelle i10. Et si on regarde plus loin dans le futur, ce créneau pourrait bien renaître un regain d’intérêt au moment où les batteries des automobiles électriques auront fortement diminué de prix.
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