« Les villes veulent réduire la circulation, nous devons donc trouver des solutions qui s’accordent à notre marque. Et la mobilité partagée n’est pas suffisante, cela ne nous apportera pas une part de profits suffisante » a déclaré Meschke dans une interview accordée au média anglais Autocar. L’Allemand prédit donc que pour s’octroyer une « part du gâteau », il est nécessaire « d’envisager des investissements dans d’autres marques ou des solutions de mobilité. Penser uniquement aux voitures Porsche pour la mobilité de demain n’est pas suffisant. Nous devons penser à des investissements, des start-up, pour dégager du bénéfice dans d’autres segments ».
En clair, Porsche devrait donc suivre la tendance de nombreuses autres marques qui ont déjà entamé leur transition de « constructeur automobile » vers « fournisseur de services de mobilité », dont le but est d’offrir une multitude de solutions au consommateur sans que celui-ci n’aille « voir ailleurs ».
Un challenge qui s’annonce particulièrement ardu, surtout pour les constructeurs avec une fibre émotionnelle forte tels que Porsche. Le constructeur propose notamment déjà un service d’abonnement en Amérique du Nord, permettant de piocher dans l’ensemble de la gamme plusieurs fois par an selon ses envies.
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