La spécificité de ce moteur est d’associer l’allumage à bougie d’un moteur essence à l’allumage par compression d’une mécanique diesel. Cela lui permet de se montrer réactif à bas-régimes, et de savoir monter dans les tours tout en demeurant économe.
On connaît maintenant les détails techniques de ce bloc annoncé depuis longtemps : il s’agira d’un quatre cylindres de 2,0l développant 180 chevaux à 6.000 tr/min et 224 Nm de couple à 3.000 tr/min. Il se place donc au-dessus du 2,0l essence actuel de 122 chevaux, et du 1,8l diesel de 116 chevaux.
Malgré ces caractéristiques, il n’est homologué en NEDC2 que pour une moyenne de 4,4l/100 km, avec un taux d’émissions de 96g/km de CO2. Des chiffres qui montent plus ou moins légèrement si l’on choisit la carrosserie 5 portes plutôt que la 4 portes, une boîte automatique ou encore une transmission intégrale.
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